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 les persos fw

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Ruru
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Ruru


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MessageSujet: les persos fw   les persos fw EmptyMar 4 Avr - 15:23

ikuto

Tu aimes rire, surtout de toi-même. Le ridicule ne tue jamais avec toi. D'ailleurs, tes vannes ne font rire souvent que toi. Mais tu ne peux t'en empêcher. Tu aimes ça. Voir l'incrédulité se lire sur le visage ou juste le rire. Tu ne penses pas que tu es le meilleur comique du monde. Ce n'est pas ton rôle. Car tu joues la comédie. Tu es souvent positif, il t'arrive d'avoir des coups de mou. Mais tu arrives souvent à t'en sortir. Car tu es souvent pour ceux qui te voient un rayon de soleil. Ce qui leur permet de sortir de leur vie bien morne à leur regard. Tu es celui qui aide sans rien demander en retour.

Tu es patient, mais tu supportes mal cette attente. Tu fais tout pour contrôler tes instincts. Tu aimes être le plus juste possible. Car tu es un peu perfectionniste. Ça se ressent dans tes armoires, souvent rangées. Ce qui ne t'empêche pas d'y mettre un bordel sans nom quand tu cherches un vêtement. Ton empressement te désespère assez souvent quand tu dois tout refaire.

Tu apprécies ce qui te rend différent, tes cheveux bleus sont un bel exemple. Tu ne crains pas la presse à scandale, en fait, tu te fiches de ce qu'ils pourraient dire de toi. Tu vis ta vie et ton métier comme tu le sens. L'avis des autres t'importe peu au final. Tu t'es calmé avec tes aventures. Tu es devenu fidèle. Il faut dire que t'étais attaché aux mauvaises personnes.

Tu as des côtés négatifs, bien entendu. Comme tous les hommes normalement constitués. Tu supportes assez peu les enfants capricieux. Tu ne les détestes pas, c'est juste que leurs cris te filent un mal de crâne carabiné et leurs questions t'agacent souvent. Tu gardes le sourire devant eux. Mais tu joues clairement un rôle, un autre toi. Il n'est d'ailleurs pas rare que tu joues la comédie. Ceux qui savent comment tu sont en réalité se comptent sur les doigts de tes mains. Tu as du mal à t'attacher réellement aux gens. Tu dois faire confiance, et ça gagne par l'effort. Et une dose de câlins.

Ce que tu caches, un homme qui aime assez peu la solitude, il n'est pas rare de voir un chien ou un autre animal. Tu es très câlin, genre le type un peu collant. Tu aimes te faire plaisir, si bien que tu ne te refuses pas souvent quelque chose. Ça fait partie de ce qu'on nomme parfois caprice de star, c'est surtout ta grand-maman qui les nomme ainsi, ça l'amuse. Tu gardes quand même une certaine limite, car tu sais que le plaisir est plus grand quand il n'est pas assouvi directement. Ta passion pour le cinéma fait de toi, un espèce de fanboy de tout ce qui est star, surtout les plus prestigieuses. Il n'est pas rare que tu veilles tard le soir voir une interview à heure locale. C'est une passion un peu honteuse, mais réelle. Quand bien même le matériel moldu supporte mal la magie. Tu te penches de plus en plus dans le monde sorcier. Mais tes premiers amours étaient Marilyn Monroe et James Dean.




Ta naissance n'était pas prévue à la base. Tu n'es que le fruit d'une nuit trop arrosée. Ta mère, une japonaise pure souche, bien qu'habituée au saké s'est laissé emporter cette soirée-là. Elle avait participé à un Gokon, un rendez-vous entre célibataires pour se trouver un mari qui serait prêt à accepter ses folies. Car à l'image de ta mère. Tu es original à ta manière. Pas satisfaite de cette soirée, avec ces trois amies de l'époque. Elle alla au karaoké. Elle chantait bien, ta mère, elle chante de temps en temps, mais son timbre est usé par les années et la cigarette. Revenons à l'histoire principale, c'est-à-dire, la tienne. Celle qui t'a donné cette vie précieuse.

Il commençait à se faire tard et l'alcool embrouillait les sens de la jeune femme qu'était alors ta mère. Elle titubait dans la rue s'accrochant où elle pouvait. C'est comme ça qu'elle tomba sur ton père, un homme qui lui plaisait, alors qu'avant ça, elle ne le connaissait pas. Il retenait l'étrange femme qui semblait sur le point de tomber. Le jeune adulte tentait de demander à cette femme.

« Mademoiselle ? Vous allez bien ? »

Elle ne répondait pas, elle le trouvait beau, ce joli blond, sûrement un de ces voyou, elle allait s'encanailler. Son sourire s'agrandissait, ce qui ne rassurait pas ton père. Mais il ne pouvait pas laisser comme ça. Il regardait autour de lui. Il vit un policier, rassuré. Il conduisit ta chère maman aux autorités pour l'aider à décuver. Mais rien se passa comme prévu. Tellement saoule, elle tombait, emportant dans sa chute l'homme qu'elle tenait à présent, qui aurait sûrement un gros mal de tête à son réveil. D'ailleurs, il tomba dans les pommes. Ta mère se mit à secouer l'homme en le complimentant toutes les deux phrases. Ce qui fit rire quelques passants. Mais ta mère avait parfois un regard qui les éloignait. Elle était capable de faire peur par sa folie qui semblait animer son corps. Ses habits colorés et sa manière de se coiffer faisaient que personne n'osait l'approcher. Même si ses amies avaient été là. Agacée, elle le traînait l'homme jusqu'au love hôtel le plus proche. Comme y était-elle arrivée ? Mystère, elle-même ne s'en souvient pas. Mais c'est qui est sûr, c'est ce qui se passa ensuite. Sûrement que ces arguments avaient fini par le convaincre.

Le jeune homme qu'était ton père cria quelque chose dans ce qui semblait de l'anglais, tellement il était choqué qu'il avait perdu son japonais. Il vit ta mère, déjà pas mal dévêtue. Sacrément éméchée. Elle commençait à embrasser ses joues. Bien entendu, il refusait dans les premiers instants. Mais elle l'abreuvait d'alcool, l'obligeant à avaler en venant lui voler un baiser, puis un autre. Il était tombé sur une folle furieuse. Il se plaindrait. Elle l'attacha, bien entendu. Le reste de la soirée se passa comme une parodie d'un anime catégorisée de Hentai, sauf que c'était ton père la victime non-consentante. Il avait été drogué, forcé à boire et pire que tout... S'unir avec une créature pareille. Ta mère avait fait là, sa plus grosse bêtise...

La semaine qui suivit, elle fut jetée en prison, et ce, pendant six mois. C'est là qu'elle découvrait les joies de la maternité. Les vomissements que tu provoquais, réalisant un peu plus tard qu'elle était enceinte. Avorter, c'était impensable. Déjà qu'elle ne se souvenait pas du père, ni de la soirée de ta conception. Pour elle, tu es le fruit d'un fantasme. De cet homme souriant aux cheveux d'or. Plus jamais, il voulait la voir. Il fait appel à des avocats pour la faire tomber, augmenter sa peine. Sans plus de succès que de lui construire un dossier. Ce dernier sera des plus utile pour la suite. Elle serait surveillée de près.

Elle se mit à rire, alors que son ventre rond se faisait caresser par ses mains folles, elle était bel et bien enceinte de toi. Elle sortirait dans quelques instants. Elle partait de la prison, les policiers se demandant pourquoi cette femme n'avaient pas voulu sortir avant en connaissant son état. Les derniers mois, elle revint voir le médecin de la prison qui avait suivi de très près la gestation de ta mère. Puis tu vins au monde. Tes cheveux noirs et tes yeux clairs la rendaient fière. Elle faillit te lancer, heureusement que la mise au monde l'avait épuisée. Elle s'endormait, alors que toi, affamé, tu pleurais pour avoir à manger.

Les premières années de ta vie n'étaient pas très glorieuses, ta mère prenait un malin plaisir à t'habiller de couleurs assez bizarres. Tu étais un petit garçon, elle le savait bien. Mais ce n'était pas ça qui l'arrêtait de t'affubler d'une grenouillère rose bonbon avec des petits chats. C'était souvent quelque chose qu'on nommait famille. Tes grands-parents, bien qu'un peu honteux de voir que leur fille était devenue ce qu'il avait toujours détesté. Ils firent de leur mieux pour avoir ta garde. La bataille entre ta mère et ses parents s'annonçait compliquée. Car elle s'était attachée à toi et à part sa façon louche de te vêtir et ses câlins parfois, trop serrés. Elle ne faisait rien de mal. Elle te nourrissait chaque jour, dès que t'en avait le besoin. Tu l'aimais ta maman, à cette époque. Si bien que la première fois que tu fus séparé d'elle, tu avais deux ans. Tu avais un peu de mal à parler. Tu tenais le bas de ta mère. Tu avais tes premiers pas chez elle, tu avais son sourire, elle t'avait fait tourner, tu avais eu l'impression de ne faire qu'un avec le vent. Tu avais trouvé ça rigolo. Tes habits de couleurs ne te dérangeaient pas outre mesure. Sauf que bientôt, tu iras à l'école. Tu ne voulais pas y aller, tu voulais rester. C'est le dossier de ton père qui aidait tes parents à avoir ta garde. Lui, tu l'as vu qu'une seule fois. Tu lui fais honte.

Déjà que tu savais que tu n'étais pas ordinaire. tu apprenais de la bouche de ta grand-mère que tu étais un sorcier. Et elle devait t'élever pour que tu soit un bon petit élève. Elle te souriait, mais c'était pas bizarre. elle était gentille sauf quand tu faisais des bêtises. et tu en a fait tout un tas. certaines aidé de ta magie, avais-tu fait sans t'en rendre compte? Tu ne le savais pas. Surtout tu venais à te demander pourquoi ta mère s'était pas échappée de prison, elle aussi était magicienne, non? Ta grand-mère te prenait sur ses genoux. Elle allait te dire quelque chose d'important sur elle.

«Ta maman est une cracmol, une demoiselle dépourvue de magie et pourtant né de deux parents sorciers.»

Lors de tes premières années, tu devais te mêler aux moldus. Ce qui n'était pas bien compliqué vu ton jeune âge. Même si tu avais toujours l'impression de ne pas être à ta place. Puis les enfants riait pas mal de toi, tes habits hauts en couleurs en déroutaient plus d'un. Pas faute de ta grand-mère qui te forçait à porter les uniformes de ces écoles. Mais cet unicité n'était pas faite pour toi. Tu as eu des pertes de contrôle de ta magie étant petit tu avais trouvé très drôle de colorer ta veste jaune poussin en vert pomme. Bien sûr tu as eu droit à plus d'un sermon et à plus de privation de dessert, mais tu t'es assagi avec l'âge. Tu t'adaptais à ce monde uniforme. Bien que discrètement, ta mamy te permettait une excentricité, un bracelet coloré. De toutes le couleurs. C'est à partir de cet instant qu'elle devenue pour toi, une personne importante, à jamais la décevoir dans le futur, ce que tu as fait paradoxalement, mais actuellement, elle t'a pardonné. Tes erreurs te rendait adorable, c'était ses mots.

Il t'a suivi pas si longtemps que ça, pour tout dire, à sept ans, l'école prenait en charge les sorciers comme toi. Tu étais toujours sous la tutelle de ta grand-mère. Mais tu apprenais à faire moins de magie inconsciente. Ce qui rassurait ta grand-mère. Car elle n'avait aucune envie que ton uniforme devienne blanc, signe d'infraction au code sorcier japonais, et l'oblige à te retirer de cette école. Cet uniforme était adapté, empli de magie, car il changeait de couleurs selon les connaissances qu'on engrangeait. Au début, il avait une jolie teinte rose saumon. Mais les couleurs était un véritablement enchantement pour tes yeux. Cette école avait tout pour te plaire. En même temps que ta grand maman t'initiait au plaisir du septième art. C'était pour elle aussi magique que nos photos qui bougeaient. Ces moldus étaient malins. Toujours pendant les vacances qu'elle t'emmenait voir des films. Adapté à ton âge. Mais trop. Tu n'étais pas un bébé. Les allées-retours sur les pétrels-tempête géants t'avais habitué au danger.

Tu as fait tes années là-bas. Te passionnant pour divers sujets. Même le sport pratiqué par nombre de sorciers japonais. Tu étais toujours assez original dans ton genre. Tu te faisais souvent remarqué pour des bêtes choses. Mais jamais tu enfreignait les lois. Tu tiens trop à ta grand-mère pour ça. C'est d'ailleurs elle qui a été le moteur de ta vie pendant longtemps. C'est un peu moins actuellement.

Lors de tes dernières années, tu as explorer tout ce que le sexe pouvait t'apporter comme plaisir sans y trouver cette étincelle qui te maquait. L'amour, le vrai. Le fil rouge comme on dit souvent au Japon. Il fallut qu'un soir tu le rencontre, tu étais en pleur à cause d'une énième désertion d'un animal que tu aimais. Car tu les avais collectionné tout un tas pendant ta scolarité. Ta grand-mère se demandait où toutes ces créatures allaient et ce que tu faisait pour les faire fuir comme ça. Tu n'en savais rien. Elles t'abandonnaient purement simplement. Mais ce soir-là, ce loup s'approchait, il ne ressemblait pas un loup ordinaire. Tu n'avais plus peur. Tu es étais au bord de ta vie. Il aurait pu te croquer, tu en avais rien à faire. Ta solitude malgré ta sympathie naturelle t'avais bouffé ce qui restait de toi. Les gens te voyais que comme un gars avec qui rire, pas un véritable ami. À peine voyaient-ils ton vrai visage qu'il partaient, eux aussi.... Tu as supplié cet animal de mettre fin à cette vie faites de mensonges. Mais il n'en faisait rien. Il t'avais regardé puis laissé le temps faire de lui un homme. Même pour un loup-garou, tu n'avais plus de saveur. Tu avais ris jaune. Il avait du boire une potion. Nan. C'était quoi alors. Un nuage? Tu devais ta vie à un caprice de la météo? Trop drôle.

C'est peu après ça que ta grand-maman, âgée perdait son cher mari, elle décidait de faire ses valises. Tu ne pouvais laisser une dame de son âge seule, même si elle était capable de te donner une belle dérouillée. Mais tu ne pouvais briser ta relation avec ce garçon, celui que tu avais appris à aimer. celui qui comblait ton coeur. Avec lui, tu étais entier. Alors tu les as présentés l'un à l'autre. Ce n'était pas facile.

Elle finissait par accepter, mais elle avait reçu une funeste nouvelle d'un branche de la famille qu'elle avait cru éteinte durant des années. Elle allait devenir la tutrice d'un jeune garçon qui t'avais regardé avec curiosité, c'était un cousin. Étonnant ce que la génétique pouvait faire. Ce gamin ressemblait à ton papy. Depuis ta venue, il te considère comme son père. C'est sûrement à cause de lui que supporte mieux les enfants. Tu as appris à parler parfaitement anglais. Tu as par moment assez rares, à trouver tes mots. Mais tu enseignerai ta langue natale. Ça serait plus facile pour toi. Tu serai un exemple pour ce petit garçon. Car tu étais son père de substitution. Bien que trop jeune pour penser à avoir un garçon de son âge.
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MessageSujet: Re: les persos fw   les persos fw EmptyMar 4 Avr - 15:25

Mikael B Adams

On dit souvent de moi que je suis ambitieux, j'ai un but dans ma vie. Je suis prêt à tout sacrifier pour arriver. Même ma dignité, s'il le faut. Quand bien même, je ferai tout pour ne pas arriver à cet extrême. Il y a plusieurs chemins sur une route. Je vais suivre le plus possible cette dernière, le danger est une chose qu'un sorcier peut surmonter. Dû à ça, je suis quelqu'un de très sérieux. je n'ai pas ce dédain des règles. Je sais ces limites. Je ne préfère pas les dépasser. Mais en cas de force majeure, je peux mordre sur ma pomme comme on dit et les enfreindre, avec beaucoup de volonté de ma part. J'aime quand le travail est bien fait. Moi perfectionniste? Peut-être. Je n'ai jamais été fort pour trouver la personne que je suis. J'ai tendance à être froid, pas physiquement, mais avec les gens. je peux même être cassant dans mes propos. mais je ne le fais pas souvent exprès. Disons que mes paroles dépassent souvent ce que je pense. Je sais, ce n'est pas très futé. mais disons que c'est ce défaut qui équilibre la balance. Et puis j'ai un délit de faciès comme on dit. J'ai une tronche de caïd. Voilà quelque chose qui n'aide pas. Mais j'aime le proverbe qui vaut mieux être seul que mal accompagné.Mes amis seront ceux qui l'auront mérité, point final. Je n'aime pas attendre. Je suis du genre à taper du pied. C'est bien pour ça que le cours de potion m'exaspère avec ses temps de pauses. L'horreur. C'est pareil avec les gens. Il ne faut pas me poser un lapin, car je risque de mal le prendre et être vraiment méchant. Car je suis encore gentil par moment. Bon, je m'approche plus d'un fou dangereux. Mais soit. Je ne deviendrai jamais un crétin qui oublie d'où il vient.




J'étais heureux avec ma mère et mon père. Même si papa disparaisait souvent à cause de son travail. Je vous racontes pas combien de fois j'ai du consoler ma maman. Elle était si triste à l'époque. Et plus les années ont passé, plus l'ambiance devenait lourde. Comme s'il y avait une enclume au dessus de la table. Je faisais plein d'effort pour qu'elle aille mieux. Mais ce n'étais pas toujours simple. Même pour moi, j'étais gamin. Mais ils ont fini par se séparer. J'étais un peu peiné de ne plus voir mon père, mais ce n'était pas comme si je le voyais souvent avant ça. Alors il finirait par disparaître de mon paysage mental. Je me promettait seulement de devenir un auror attentif à sa famille. Pour prouver à cet incapable que c'était possible. Une vengeance sur mon passé. D'un côté j'étais soulagé que cette situation cesse enfin. Je les avais tellement vu se disputer que ça en devenait infernal. Alors quand c'était fini, j'ai pris ma mère dans mes bras et lui ai dit que je serai là pour elle. Que je la rendrai fière de son fiston.

Plus je grandissais, plus je voyais que le célibat pesait sur les épaules de maman, je l'encourageait à sortir. Que je pouvais me débrouiller à présent tout seul. Il a été difficile pour moi de la convaincre, mais après mes seize ans, elle finissait par comprendre. J'avais obtenu gain de cause. Bon, j'ai fait des bêtises. Des tas de bêtises. Mais elle finissait souvent par me pardonner. J'étais son fils, le seul homme digne pour le moment de son existence. Ça me rendait particulièrement fier.

Un jour, alors que je me baladais en forêt avec mes potes de l'époque, j'avais à peine une douzaine de piges. Donc pas de baguette sur moi. C'était pas bien vu avec les moldus. Mais je les aimais bien, ces cons. Il y eu une odeur de fumé, pas particulièrement effrayé par l'odeur. Il n'était pas rare que des ploucs viennent camper pour dormir à la belle étoile. Ce n'était pas la première qu'on venait dans ces bois. Mais cette fois-là, tout à changé. Alors qu'on parlait de tout et de rien, le feu venait grignoter le bras de mon pote. Paniqué, je lui jeter ma bouteille d'Aquarius en pleine face, mais le feu nous entourait. J'avais du mal à faire face sans ma baguette. Alors on courrait dans tous les sens pour éviter l'incendie. Plus d'une fois, mes potes et moi on s'est retrouvé proche du feu. Heureusement que je cicatrise vite. Car je pouvais plus ou moins affronter cette épreuve. Mais quelle n'était pas surprise de voir le feu prendre mes amis devant mes yeux. Je n'ai jamais autant pleuré que ce jour-là. J'avais peur de mourir. Mais coup de chance, la pluie venait stopper, il était trop tard pour eux. Il avait figé sur ce qui leur restait de figure la peur. Jamais je n'ai oublié ce jour. Depuis j'ai une peur panique du feu. Ça ne change pas mon but. Juste que je vais l'éviter plus que possible. Tant que j'étais avec ma maman, tout allait bien. On est devenu plus proches après cette histoire. On se racontait tout ou presque.

Mais toute chose a une fin, en été, alors que mes études étaient bien avancés. Elle s'absentait de plus en plus. Elle parlait d'un certain monsieur Nails. Au début, ce n'était qu'un flirt. J'étais plutôt content de la voir à nouveau heureuse. Pour une fois de sa vie. Plus elle parlait de cet homme, plus moins exprès. Plus je pensais le connaître. Mais j'avais hâte de le connaître en vrai. Car les mots de ma mère étaient aveuglés par son amour fort pour cet homme. Il passait un moment dans le flou. Pourtant, un week-end. Il voyait un homme relativement bien barbu, alors que moi j'avais quelques poils sur le menton. Au premier abord, je me demandais si je n'hallucinais pas. Mais c'était un vrai homme. Et ces tatouages, un part de moi était jalouse. Une vraie plaie. En tout cas, il savait en imposer. Et j'aimais bien ça. Je lui tendais la main, après une poignée de main très virile. Je m'installais à ses côtés, alors que ma mère finissait par sortir de la cuisine avec un plateau rempli de boisson. J'avoue que ce jour, on s'est bien amusé. C'est un homme assez cool. Bon, il a des gosses. Mais ça devrait aller s'il sont aussi cool que lui...

Sauf que non. J'ai débarqué, je les ai salué poliment. Mais mon visage a du faire quelque chose que depuis ça ne va pas. Je fais pourtant des efforts pour m'entendre avec eux. Je ne veux pas que ma mère revive cet enfer. Celui qu'elle vécu avec mon père. Mais avec moi. Alors Je me résigne. Je fais semblant pour elle. Je déteste lui mentir. Mais je n'ai pas le choix. J'ai envie de faire de cette famille. Mais je ne suis pas le bienvenu. Ça m'attriste un peu. Enfin avec la fille, ça peut aller. Elle est un peu spéciale, mais pas méchante. Elle a fini par se faire à moi. Par contre... Son regard envers ma mère n'est pas toujours gentil. La méfiance sûrement. Comme Kieran envers moi. Sûrement. Rah je ne sais plus quoi faire.
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MessageSujet: Re: les persos fw   les persos fw EmptyMar 4 Avr - 15:27

Luigi Tragelstone

Que dire de Luigi ? C'est un jeune homme assez naïf, il sait certaines choses, parce que l'adolescence lui a ouvert les yeux. Mais il reste quelqu'un d'assez prude. Pas qu'il fuit l'amour. C'est qu'il n'est jamais tombé amoureux. Ce genre de choses à fini par le lasser. C'est un jeune homme qui est du genre à être proche de ses amis comme ses ennemis. Ce qui la mené à subir quelques humiliations de la part des seconds. Il est du genre à tout pardonner ou presque. Il a ses limites. Très peu de personnes les ont franchies. Il n'est pas bon d'être en mauvais terme avec ce garçon. Il sait jouer des tours comme personne. Utilisant son côté inventif. Il surprend ses ennemis. Qui pouvait deviner qu'une être aussi gentil pouvait cacher une facette aussi sombre ? Chaque lumière à sa part d'ombre. Et celle de Luigi ne fait pas exception. Malgré son bon caractère, ses vrais amis sont rares et se comptent sur les doigts d'une seule main. Il préfère agir comme quelqu'un d'honnête quitte à se faire des ennemis. Il ne dénigra pas les autres. Il privilégiera ceux qui ont vraiment besoin de lui. Il n'est pas particulièrement stupide, ni intelligent. C'est un jeune homme qui a encore des belles années à vivre. Il veut les vivre à fond. Qu'importe sa maison. Il sait qu'il rendra fier son père. Car il a déjà gagné le statut d'apprenti sorcier. Tant qu'il n'a pas à ensorceler des balais, ça ne se finira pas en inondation. Son éducation à la fois moldue et sorcière a fait accepter pas mal des deux mondes au garçon. Peut-être que ces derniers lui seront des plus utiles. Il a une phobie des gros chiens, les petits, il peut aborder sans soucis, mais dès que l'animal dépasse ses genoux, c'est la panique totale et il fuit.





Tout à commencé bien avant sa naissance, la rencontre de ses parents fait partie intégrante de ce récit. Ce dernier est simple, et pourtant comme toute vie sur cette planète à eu un commencement bien avant sa création. Une rencontre.

Une demoiselle italienne qui avait décidé de refaire sa vie en Angleterre. La pizza avait fini par la lasser. Elle avait étudié l'anglais. Car c'était une langue qui lui permettait de voyager autant qu'elle le voulait. Cette décision l’amenait à rencontrer cet homme. Cette personne qui deviendrait le père de son fils. Bien entendu, ce n'était pas facile pour les deux jeunes adultes. Ils étaient de mondes différents. Ça elle était bien loin de le savoir. Mais le fait était que plus ils se voyaient, plus attirance était voyante. Comme deux aimants, inexorablement attiré l'un vers l'autre. Bien sûr, la jeune femme n'oubliait pas son pays d'origine. Elle était encore fort attaché à sa terre natale, bien qu'elle l'avait quitté pour des raisons personnelle. Son père avait vu d'un mauvais œil sa fugue. Elle n'était pas un objet. Pas un espèce de trophée qu'on exposait. D'un tempérament volcanique. Elle avait fait ses valises pour les poser en Angleterre. Qui irait la chercher ici ? Où le soleil était que si peu présent. Complètement ridicule.

Il n'était évident de trouver un travail, malgré son bon niveau d'Anglais. Avec sa volonté de fer, elle arrivait à s'en sortir. Malgré qu'elle soit condamné au pâtes au beurre. L'ironie de la situation la faisait rire. Mais ce n'était pas plus mal ainsi. Elle s'attendait à rien de cette vie. Même si elle ne disait pas non à l'amour. Le refuser serait bien vain et ridicule. Mais quand viendrait ? Elle en savait rien.

La demoiselle fut fauchée par ce dernier, alors que les feuilles d'automne tournoyaient devant elle. Comme si le vent jouait d'elle. De sa résistance un peu faible au froid. C'était bien la seule avec une grosse doudoune violette en plein automne. Elle grelottait de tout son saoul. Elle n'en pouvait plus de ce temps. Mais quelque chose réchauffait son cœur gelé, ainsi que son corps par la même occasion. Elle se sentait comme foudroyé, sa bouche était pâteuse, elle ne voyait que lui. Pourtant, il était moins musclé que les italiens dont elle était tombée amoureuse. Là c'était différent. Elle sentait qu'elle pourrait faire tout pour cet homme. Pourtant elle ne le connaissait même pas. Comment l'approcher ? Elle n'en savait rien. Il semblait comme dans son monde. L'approcher était frôler du bout de ses doigts engourdis par la fraîcheur relative de cet automne, cette chose qui l'entourait. Comme si c'était pas tout à fait normal. Mais les sens de la demoiselles étaient en plein émois, donc sensible à l'hallucination. Elle était qu'à quelques centimètres de cet homme. Il remarquait sa présence. Son regard, d'un joli brun l'envoûtait, elle était sous son charme.

« Mademoiselle ?
-Euh oui... ?
-Vous allez bien ?
-Jeu... »

L'italienne n'avait plus les mots. À peine, elle ouvrait bouche qu'elle se sentait complètement stupide. La demoiselle se cachait du mieux qu'elle le pouvait dans les épaisseurs violettes de sa veste. Ce qui était assez facile et tant donné sa faible résistance au froid. L'homme lui souriait, il était si beau, ce sourire était à son image. Parfait. Mais comment parler à cet homme. Elle se sentait totalement désemparée. Mais l'homme fit une chose qui l'étonnait fortement, il prit sa main et frottait cette dernière.

« Vous êtes glacée. Vous ferez bien de rentrer dans un endroit chauffé, je crois que j'ai l'endroit qu'il faut pour vous. Me suivrez-vous ? »

La dame hochait simplement la tête. Elle était contente qu'il soit un gentleman. Pas un macho comme elle avait eu l'habitude pendant des années. Elle suivait cet inconnu en toute confiance, il ne voudrait aucun mal. Et elle avait raison, il était dans une taverne. Le serveur avait l'air un peu revêche, mais en voyant que l'homme commandait un thé, il se mettait à sourire. Elle pouvait voir qu'il manquait quelques dents à ce derniers. Ça l'avait marqué, assez pour oublier l'espace d'un instant qu'elle était en bonne compagnie. Elle se mit à rougir face au regard de cet homme. Ses yeux étaient comme deux caramels, elle avait envie de les manger tellement ils semblaient briller. Sucré comme elle les aimaient. Elle n'avait jamais compris cette fascination du caramel beurre salé qu'avait les anglais. Bientôt, elle se sentait assez bien pour retirer sa veste épaisse. Ce qui fit rire l'homme. Elle fit la moue.

« C'est pas très joli de se moquer, jeune homme.
-Pardon, je croyais avoir sauvé une dame honorable avec quelques rondeurs, mais je remarque qu'il en est rien.
-Vous êtes bien gentil de vous occuper des dames que vous pensez bien portante. Qu'est que ça cache ?
-C'est ma façon à moi de pardonner ma vie avant ça.
-Vous êtes bizarre.
-Mais j'ai pu délier votre langue, j'en suis ravi. »

L'italienne se mit à ressembler à une tomate qui avait pris le soleil. Alors qu'une tasse de thé fut placée devant elle. Elle papillonnait des yeux se demandant pourquoi on lui apportait la boisson sacrée des anglais. Pas qu'elle la déteste, cette boisson, mais elle préférait le vin. Elle prit la tasse entre ses mains. Réchauffés par le liquide presque bouillant. Elle serrait délicatement l'objet, afin de plus sentir cette désagréable sensation qui l'empêchait de sentir les choses.

« Merci...
-De rien, c'est tout naturel. »

Bien que c'était compliqué, surtout pour la demoiselle, les deux adultes avaient un peu parlé, puis sympathisant, s'échangeant leur numéro de téléphone. Ils pourraient se revoir. L'italienne retournait chez elle le cœur léger. Et l'espoir plein la tête qu'elle reverrait bientôt cet homme. Elle s'attendait pas à se faire agresser par la sonnerie de téléphone lorsqu'elle pénétrait chez elle. Elle se trébuchait sur ses chaussures en rejoignant le dit appareil servant à communiquer.. Elle rit un peu stupidement avant de se reprendre.

« Allo Maria ?
-Peter ?
-Ah ça fonctionne, content de le savoir au moins vous êtes rentrée en un seul morceau.
-Oui.
-Prenez soin de vous, gente demoiselle.
-Flatteur... »

C'est là qu'elle vit le nom du jeune homme, il se nommait Peter, à côté des chiffres gribouillés à la va vite. Une écriture un peu détachée du personnage droit et classieux qu'elle avait rencontrée. Comme s'il cachait une partie de son être derrière ces simple chiffres se suivant formant un bel ensemble. Elle prit grand soin de se réchauffer, ce soir-là.

Bien entendu, ce n'était pas avec une simple rencontre, même si aidé par le coup de foudre de Maria. Que les deux jeunes se mirent ensemble. En tout cas, les rencontres se dédoublaient, sans jamais se ressembler. D'une franche amitié entre les deux protagonistes et l'amour. Il a fallu attendre quelques mois afin que la demoiselle prene son courage à deux mains et finisse par se déclarer. Bien entendu, elle avait invité dans une pizzeria, pour lui montrer les richesses de sa terre natale. Ce qui n'était qu'à moitié réussi, le jeune anglais étaient habitués aux choses typiques de sa région. Il rit doucement avant de caresser avec une douceur infinie la demoiselle. Cette dernière était enchantée par le geste.

« Je savais que vous m'aimiez, depuis le début. Au début, j'avoue avoir eu peur de votre présence. Mais j'ai été surpris ces derniers mois, je me suis attaché à vous ? Maria. J'accepte avec plaisir d'être votre amoureux. Ça sera une raison de plus de rester en Angleterre. Je sais que vous raffoler de mon thé earl gray.
-Et moi de mes petits plats.
-Je plaide coupable. »

La romance bien qu'installé n'était que le démarrant pour le feu de passion qui se déchaînerait quelques temps plus tard. Après combien de temps, ça se comptait en semaines. Combien précisément. Mais chaque jour, ils se découvraient. Parfois, c'était plaisant. D'autres fois, ils se criaient dessus. Mais au final, ils se pardonnaient et s'aimaient simplement. Maria était un peu surprise par les réactions par moment bien drôle et disproportionné. Comme s'il venait d'un autre monde. C'était peut-être à cause de son éducation qui avait fait de lui un gentleman. Cette façon de vivre la faisait sourire.

Quand vint le moment délicat d'aborder un enfant, après une année bien compliquée par instants. L'italienne était devant un mur, son amoureux refusait qu'elle soit mère. Prétextant qu'il avait des soucis dans sa famille. Pour avoir vu une bonne partie de la famille Maria ne voyait pas où était le souci. Bon, elle n'était qu'une paysanne parmi un monde pas fait pour elle. Seul Peter comptait, pouvait-elle s'en contenter ? Non. Elle voulait porter son fils ou sa fille. Elle ferait tout pour l'avoir quitte à devoir lui mentir. Ce qui amènerait à une dispute, à n'en pas douter.

Elle arrivait à ses fins, après diverses hésitation, elle était enceinte. Elle avait pris un test à la pharmacie. Mais l'enfant était spécial. Les effets négatifs de conceptions étaient différents. Elle se sentait faible, comme si l'enfant puisait dans son énergie. Ce qui ne passait pas inaperçu aux yeux de son homme, Peter. Il fonçait vers elle, complètement furieux. Comme si il avait senti son état.

« Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi...
-Désolé...
-Je suis tellement désolé, mais...
-Mais ?
-Je suis sorcier. »

C'est là que la conscience de la demoiselle partit d'un seul coup. Que l'image devint entièrement blanche. Devant ses yeux. Elle ne savait pas que ça existait que c'était qu'un conte que les plus imaginatifs. Mais non tout était vrai. Maria se réveillait quelques heures plus tard. Peter au-dessus d'elle.

« Maintenant, il est trop tard pour reculer. Tu porte mon enfant, je t'aime. Tu devra rester avec moi, afin qu'il puisse un peu dans ma magie pour grandir.
-Tu crois qu'il sera comme toi ?
-Presque certain... Tu as peur ?
-Non, je t'aime, et encore plus aujourd'hui qu'hier.
-Fichue romantique.
-C'est comme ça que tu m'aimes.
-Je plaide coupable. »

Les deux adultes s'étaient réconciliés. Ils riaient joyeusement. C'était une crise qu'ils passeraient ensemble. C'était mieux pour le petit être qui grandissait lentement mais sûrement dans son ventre. Cette chose qui poussait avec lenteur était le miracle de la vie. Elle n'abandonnerai pas. Cet événement donnait l'espoir d'un avenir familial. Idéal, celui qu'elle avait toujours rêvé. Cet avenir tant espéré venant d'elle en plus.

Les mois se suivaient et ne se ressemblaient en aucun point. Comme des pièces d'un puzzle dépareillés. Vouloir rassembler ces dernières étaient impossible pour des non-initiés ou ceux qui étaient trop éloigné de ce couple aimant, bien qu'un peu mené par les conflits. Il était compliqué de faire avec les sautes d'humeurs. Sans oublier le fait que la demoiselle apprenait sans s'en rendre compte le côté caché de son mari, la magie et aussi cet univers un peu différent de celui qu'elle avait toujours connu. Par ce que c'était l'homme qu'elle aimait. Malgré tout ces secrets, elle ne se voyait pas vivre sans lui.

« Tu m'aimes ?
-Bien sûr Maria, c'est les hormones qui te font douter...
-Non, tu sais la magie...
-Tu pourras vivre avec moi. Puis les sorciers auront fini par avoir des problèmes de santé à force de chercher une soi-disant pureté.
-Ils ressemblent un peu aux membres du ku klux klan..
-Du quoi ?
-Un groupe d'humains sans pouvoirs qui prône la suppériorité de la race blanche.
-C'est un le genre, mais que font ces gens ?
-Des choses pas très gentilles. Ils tuent parfois.
-Je vois...
-Un soucis ?
-Je t'en parlerai plus tard, notre enfant n'as pas besoin d'entendre ça. »

Elle sourit tout simplement en caressant son ventre bien rond. L'italienne lui donnait naissance exactement deux mois après cette conversation. C'est ainsi que le petit Luigi fit son entrée dans ce monde qui serait bientôt le sien. Quelle surprise attendait ce petit être ? C'est ce que va raconter la suite.

Dans les premiers moments de sa vie, tout était flou, mais il se sentait bien, sa maman était là, mais aussi la voix grave qu'il à peine entendue durant qu'il était encore qu'une petite chose. Il n'était pas bien grand. Pour un bébé, c'était normal. Il tendait son bras à ce monde. Il avait faim. Alors, il mettait à pleurer, avec force. Nourris et chouchouté. Il était l'enfant le plus heureux du monde. Mais, la vie n'est pas quelque chose de beau. Elle a tendance à faire de joli tour. Surtout avec un jeune sorcier. Il n'était pas étonné de voir de choses voler. Ça le fascinait comme tout enfant. Il avait voulu faire pareil. Voler. Grossière erreur. Surtout pour un gamin comme lui.

Combien de fois était-il tombé de son berceau ? Tellement que même sa mère attentive avait arrêté de compter. Il voulait voir ce monde. Il se débrouillait avec ces petites mains pour se sortir des prisons provisoire. Il essayais de faire comme ces objets, sauf qu'il retombait comme une pierre. Se faisant souvent mal. Il pleurait beaucoup à cette époque. Bien plus que les autres du quartier. Ce qui amenait à Maria et Peter d'insonoriser entièrement leur maison. En plus pour peter de mettre des sorts pour pas que le petit se blesse.

Son papa le faisait beaucoup rire, il disait son nom bizarrement, il était encore un jeune enfant à cette époque. Il se s'en souvient pas trop. Mais c'est ce que ces parents raconte. Son père a toujours honte de ce moment. Mais ça fait rire sa maman. Alors elle a tout raconter. Cette fascination pour le monde qui l'entourait était logique et habituelle pour une jeune âme telle que la sienne.

Pourtant, il se souviens parfaitement d'un moment de son enfance, il était petit encore. Il marchait maladroitement. Mais il marchait comme un enfant de trois ans le fait. Se prenant par moment les pieds dans les marches des escaliers divers et variés. Heureusement qu'il était sorcier, ces blessures n'étaient pas si grave que ça. Ou du moins, assez pour ne pas finir à St mangouste. Revenons à cette histoire dont le garçon en tremble toujours d'effroi, rien qu'au souvenir. Il se baladait en riant, pourchassant un papillon. Oui, cet insecte avait mené à sa perte. C'est par un hasard tout à fait malheureux qu'il entrait dans un chenil pour chien. Certains, content d'avoir un jeune copain le léchaient. Mais le petit garçon n'aimait pas trop ça. Il tentait de protéger son petit visage. Du mieux qu'il le pouvait de ses mains minuscules. D'autres grognaient méchamment. Mais ce n'était pas tout. Les canidés se stoppèrent pour laisser place à un chien énorme pour les yeux du jeune garçon. Il tremblait de tout son être. Il voulait fuir, mais ses jambes refusaient d'aller où il voulait. Tellement elles claquaient l'une contre l'autre. Il était plus qu'à quelques millimètre de lui, il aboyait avant de mordiller le nez du garçon, pour s'amuser. Il voulait jouer. Mais l'esprit du garçon, c'était, il va me bouffer. Alors, il se mettait à fuir. En hurlant, il allait se réfugier dans les jambes de sa mère. Cette dernière trouvait ça un peu triste de le voir fuir les chiens. Elle qui adorait ces bêtes. Mais que pouvait-elle y faire ? La dame avait beau lui montrer qu'ils étaient gentils, rien n'y faisait. Il était têtu comme une mule.

Les ennuis n'étaient qu'au commencement. Luigi avait la fâcheuse déviance qui l’amenait à vivre des aventures dont il se serait bien passé. Bien qu'elle lui forge le caractère. Il se souvient de ses moments, gênant, comique pour certains avec le recul. Et sa magie dans tout ça. Elle s'est révélé un jour d'été alors qu'il poursuivait les canards. Il faut le comprendre. Il avait envie de toucher ces drôles de créatures. Ce qui s'est passé ? Bah c'est à la fois simple et compliqué à narrer.

Alors comme dit avant, il poursuivait les palmipèdes avec un certain enthousiasme. Il tombait à l’eau, normalement, ce qui l’était moins, c’est que ces vêtements se mirent à sécher à une vitesse hallucinantes, surtout aux yeux des gens dépourvu par magie. mais la mère eu le réflexe de cacher cette réaction avec sa veste bien trop grande pour lui. Mais en pouvait vraiment quelque chose à ça ? Non, c’était juste sa magie qui se manifestait. Cela avait réjoui le père du garçon. Il le faisait tournoyer dans les airs pour son plus grand plaisir. L’enfant était content pour son père. Il était sûr que ce petit était un sorcier; de quoi le rendre fier ce papa. Son fils était son digne héritier. Bien qu’il ne fasse pas d’une famille si importante que ça. C’était toujours bon d’avoir quelqu’un de son sang. Celui qui vivrait après lui, du mois, il espérait. perdre un fils serait bien triste.

Avec Luigi, il n’était pas sorti d’affaire. Il se mettait toujours dans ces situations qui le dépassait totalement. L'amenant à se frotter à plus fort que lui. Il savait un peu se battre à présent. mais il fallait dire que la magie l’aidait beaucoup. l’attirant toujours par des stratagèmes divers pour l’attirer comme un papillon. Alors quand il prit la décision de se percer les oreilles. Sa mère avait eu peur. Qu’il se déchire les oreilles. mais ce ne fut pas le cas; heureusement pour elle. Il avait à présent des boucles d’oreilles, ce qui était un viril, quand bien même il ressemblait par instant à une demoiselle. C’était assez rare cependant.

Quand vint sa lettre à Poudlard, il avait sauté partout en hurlant. Son père alarmé s’était demandé ce qu’il se passait. Il avait lancé un sort pour stopper son enfant dans sa course frénétique. Luigi, un peu honteux avait marmonné des excuses; Il avait entendu son soupir avant de voir la lettre de son fils. Il le serrait et lui disait ces quelques mots.

« Mon fils, qu’importe ta maison, je serai fier de toi. N’écoute ce qu’on dit sur la réputation de certaines d’entre elles. Toutes ont leur forces. Même celle que tout le monde pense inutile. Ne l’oublie jamais.
-Non papa, promis juré.
-Bon courage, mon fils. »

Luigi serrait son père et c’est ainsi qu’il rentrait à l’école. Heureux d'être leur fruit de leur amour inconditionnel l'un pour l'autre.
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