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 Perso pr babkabsa

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Ruru
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Ruru


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MessageSujet: Perso pr babkabsa   Perso pr babkabsa EmptyMer 26 Avr - 22:11

Andrea

Blonds comme les blés prêts à être fauchés, tes cheveux brillent souvent, ils t'arrivent à la nuque, si bien que tu doives les attacher souvent pour pas qu'ils te gênent de par leur action qui te gratte. Ils sont d'ailleurs ondulés, ce qui t'étonne beaucoup, tu t'attendais à des beaux pics comme ceux de ton espèce. Mais il n'en est rien. Tes yeux sont violets, tirant parfois sur le bleu. Tout dépend de l'angle que l'on prend pour te regarder. Ton nez est légèrement pointu, il n'est pas proéminent, il est pile à la bonne taille pour toi. Ta peau est pâle, tu prends parfois le soleil, mais tu retrouves ta blancheur presque immaculée, tu envies presque les gens qui restent dorés. Tu n'es pas shiny, tu es un hybride ordinaire, enfin pas trop. Mais là n'est pas la question. Tu es un homme à présent, bien que tu te pares comme une dame assez souvent. Du fait qu'il est compliqué de savoir si tu es mâle ou femelle en temps normal. Tu es pourtant un homme avec tout ce qui va avec. Tes habits sont toujours élégants, bien que tu aies une affection particulière pour les froufrous. Tu aimes être admiré et tu fais tout ton possible pour l'être. Le ridicule ne t'a jamais tué et tu as porté des choses que peu d'humains oseraient mettre sur ces épaules. Tu es un hybride, il suffit de voir à quel point l’électricité t'aime. Ta posture se veut élégante et soignée, mais tu ne l'es pas toujours. Tu es encore ignorant sur ce monde d'hommes et de femmes. Tu y es pourtant confronté depuis plus d'une dizaine d'années. Et tu lui fais face seul, même si Maxence t'aide parfois.  


Ancien timide, tu as parfois du mal à t'exprimer, mais c'est sans compter sur ton excitation face au monde qui t’entoure qui te rends parfois trop exubérant. Tout parait plus petit à présent. Tu ne fauche plus le sol comme autrefois. Tu ne courbes plus l'échine pour ton ancien maître.
Exhibitionniste, étant un ancien pokémon, tu as dû t'habituer aux vêtements. Tu n'es pas un pokémon de concours, non, tu es un pokémon stratégique, pourtant, tu aurai aimé porter ces choses autrefois. Tu profites de ton statut d'humain pour le faire et tu ne te gênes absolument pas. Tu déshabilles sans aucune gêne, être nu, c'est pour toi, un ordre naturel des choses.
Ne tiens jamais en place, tu mérites ton type, tu es énergique, tu sembles toujours en mouvement, la seule façon de te voir immobile, c'est de t'attacher ou quand tu protèges un ami. Tu n'aimes pas être inactif, si bien qu'il faille souvent te calmer ce que fait Maxence, ton meilleur ami et frère. Il est le seul à présent à savoir le faire.
Protecteur, tu as tout perdu en devenant hybride, tu n'étais pas le seul, tu es devenu celui qui veillait sur les autres. Tu as attaqué de nombreuses personnes qui te jetaient des pierres, car tu n'étais pas normal. Tu l'as fait en ton âme et conscience.
Beau parleur, tu aimes flatter les autres, ce n'est pas hypocrite, la plupart du temps. Tu penses totalement ce que tu dis. Quand tu trouves quelqu'un beau, tu ne taris pas d'éloge sur ce qui te plaît sans presque aucune limite. Maxence t'apprenant ce que le monde des humains acceptent ou non.
Adore utiliser des surnoms débiles, avec toi, il faut s'attendre au pire. Tu le fais sans arrière-pensées. C'est une habitude qu'avait ton dresseur d'autrefois.
Secret, tu ne parles pas beaucoup de ce que tu es, tu préfères grandement te pencher sur les autres. C'est une manière de panser tes blessures morales. De t'oublier. Si bien que seul Maxence sache que peu de choses de ton aventure avec ton ancien dresseur. Tu ne prononces jamais son nom. Tu as peur que son fantôme vienne te prendre comme Ectoplasma voyage dans les cauchemars avec Darkai.

Tu ouvrais tes yeux entre ses bras, son sourire te faisait couiner de plaisir. Il était dernier tour autour de la tour qui t'impressionnait. Tu étais content que ton dresseur te garde. Tu n'étais pas shiny, mais tu avais les bonnes stats, c'était toujours bon à prendre. Il commençait alors ton entraînement, tu étais un évoli très proche de cet homme, tu adorais quand il prenait le temps de s'occuper de toi en te donnant des macarons pou d'autre nourriture qui te plaisaient tant. Tu étais un pokémon heureux quand il te donnait la pierre foudre. Tu étais curieux. Tu posais ta main sur cet objet. Tu sentais un courant électrique qui te traversait, à présent, il était deux fois plus sérieux dans ton entraînement. Il se concentrait sur la vitesse et l'attaque spéciale, pour une raison que tu ignorais, mais la sensation de vitesse te plaisait beaucoup. Alors devenir plus rapide qu'un Doduo te rendait très heureux. Tu n'étais pas au bout de tes surprises. Tu n'étais pas le seul pokémon, il donnait tes frères à d'autres personnes, les jugeant inaptes aux combats, c'était ce qu'il te faisait croire à toi. C'est ainsi que tu disais un jour au revoir à Maxence. Tu promettais qu'un jour, vous pourriez vous battre l'un contre l'autre, tu n'avais pas entendu sa réponse, il t'avais bouché tes oreilles. Tu restais, car tu avais les bonnes valeurs aux bons endroits. Tu gagnais des niveaux, devenant de plus en plus puissant, jusqu'au point ou tu devenait presque imparable. Tu n'étais pas non plus infaillible. D'autres dresseurs te contraient à ton plus grand malheur. À ces moments, ton dresseur te laissait dans ton coin sans que tu puisses manger, pourtant, tu avais faim. Tu voulais apaiser cet homme, tu n'avais plus le poil doux de tes jeunes années. Mais tes pics n'étaient pas si rêches qu'il le pensait. Cette coiffure, tu le devais à son oubli. Tu n'avais pas trop appris à prendre soin de toi.
Plus tu avançais, plus ton maître devenait distant, préférant ces autres pokémons. Tu ne lui en tenais pas rigueur, parfois, il gagnait grâce à toi. Tu étais le parfait vengeur, il te surnommait Thunder, car tu tombais sur tes adversaires comme la foudre. Rapidement et avec toutes tes forces. Bien que tu fusses axé sur le spécial. Puis la magie d'Arceus avait donné à tes ancêtres la possibilité d'être humain ou plutôt hybride, pour équilibrer les choses. Tu étais un descendant fier et beau de ta famille au combien nombreuse, tu ne l'étais pas aux yeux de ton dresseur, tu étais sa chose, obéissante et tu l'étais. C'est après une défaite que ton destin basculait totalement. Il te soulevait de ton unique vêtement et te fusillait du regard.

« Tout ce que je te demandais espèce d'imbécile, c'est de gagner mes combats, de venger les autres de ta rapidité quasi-légendaire. Mais non, il fallait que tu sois sensible à cette attaque séisme. Tu es tombé une fois de trop Thunder, je ne peux pas te pardonner, puis ça m'apprendra à prendre un pokémon des sous-tiers. Tout ça parce que vous êtes plus docile, rien à foutre de la docilité. Thunder, vis ta vie à présent et oublie-moi. Je n'ai plus rien à faire du pacte.
-Maître, je vous promets de gagner, s'il vous plaît, ne me laisser pas ici, pas dans ces bois effrayants. »

Il t'avait attaché, tu avais beau tirer de toutes tes forces, mais rien n'y faisait, tu n'étais pas le seul dans ces bois près de Romans sous bois. Tu pouvais entendre des pas qui te disaient rien de bons. Tu te tournais et tentais de couper la corde avec des dents. Tu avais du mal à arriver. Les pas se rapprochais. Tu te préparais à attaquer en grondant comme un enfant sauvage. Pourtant, tu étais un adulte. Tu aurais tout fait pour lui, tout. Les pas étaient encore plus présent. Tu lançais un tonnerre. Tu voyais ton frère. Il semblait triste. Tu souriais et tu lui sautais dessus.

« Maxence, c'est toi, vraiment ? Tu sens bon le sapin où c'est moi ?
-Andrea, j'aurai jamais cru te voir ici et attaché, je suis chanceux d'être né avec les mauvaises statistiques. Laisse-moi défaire tes liens. Tu es dans un piètre état grand frère. Tu étais si beau autrefois, tu es à peine habillé correctement. Je vais t'aider un peu. Tu mérites ça grand frère. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il t'abandonne. »

Tu ravalais comme tu pouvais tes larmes, mais quand Maxence te prenait entre ses bras, tu pleurais toutes les larmes de ton corps. Il te donnait de quoi te vêtir un peu mieux. Tu avais un sort noir et un dessus blanc. Ordinaire. Il savait que tu n'attendrais pas plus longtemps pour le personnaliser. Tu avais toujours refréné tes envies de redécorer tes habits, si on pouvait nommer ça ainsi. Un pagne à la limite. Tu prenais de sa poche timidement, un marqueur un peu usé, il fonctionnait que moyennement qui rendait ton dessin assez disparate. Tu lui souriais et lui rendais. tu étais content.

« Soit des nôtres, rejoins la team Avalon, tu sera traité comme tu le mérite. Plus comme un esclave comme cet homme le faisais.
-Je ne peux pas Maxence, l'oublier pour moi est dur.
-Tu seras toujours le bienvenu chez moi, à Roman-sous-bois.
-Merci pour ces vêtements.
-Profite de ta nouvelle vie, grand frère. »

C'est ainsi qu'Andrea redécouvrait Kalos. Tu étais émerveillé par sa beauté. Tu n'a jamais été aussi heureux qu'à présent. Tu courais les plaines étendues de cette région avant que la ville te manque énormément. Tu devais retourner à Illumis. Cette ville pour toi avait toujours été celle de ta naissance. Tu sentais une nostalgie te prendre. Tu n'osais pas y aller, pourtant tes pas t'y menaient lentement et sûrement. Tu devais redécouvrir ce monde qui était aussi le tien. Tu trouvais un petit boulot de serveur, ton énergie et ta rapidité servait énormément lors des couvre-feux. Tu travaillais bien, tu étais encore jeune, à peine seize années. Tu avais passé quinze ans avec cet homme. Tu apprenais plus tard que cet homme avait été tué par une séisme, coïncidence, tu n'en savais rien. Tu étais désormais seul et tu devais faire ton boulot. Tu enchaînais les heures, tu vivais un petit appartement miteux à cette époque. Tu vivais de ton petit salaire. Tu ne mangeais pas grand chose, au moins ta vie avec lui t'y avais paré à ce genre de choses. Tu avais un rire amer en y repensant. Tu n'aurais plus ce souci à présent. Tu te lierai plus à un humain.
Tu montais en grade, parce que tu étais efficace, trop pour un humain ordinaire. Tu as dû avouer ta nature d'hybride. Ton patron te laissait travailler, gardant ton secret. Tu commençais à mettre de côté, car ton patron te montrait l'attrait des concours, toi, le pokémon stratégique. Tu trouvais ça beau, toute l'élégance des hybrides étaient mise en valeur. Tu tombais amoureux de quelques concurrents. Tu voulais y participer à ta façon. Tu n'étais pas taillé pour ça. Tu ne pouvais renier ta puissance. Ton entraînement et tes capacités étaient bien trop puissants. Tu voulais pourtant faire partie de spectacle. Puis tu voyais les humains s'amuser entre eux dans des endroits osés. Tu n'étais pas trop jeune et si tu mettais tes gants, tu n'allais pas faire de mal aux humains, tu faisais ton entrée timide dans ces lieux autrefois interdits. Tu restais silencieux, mais tes yeux enregistraient tout.
Ton désir montait, tu voulais animer des shows, pas comme ceux des concours, non, des shows ou hybrides et humains pourraient exprimer leurs talents sans pour autant dépendre de l'autre. Cette idée restait dans ta tête. Tu faisais tes services, tu livrais parfois des courriers le matin, pour arrondir tes fins de mois. Tu succombais à ce mode vicieux qu'est la mode. D'abord, t'intéressant aux habits masculins, tu es un mâle, puis à la mode féminine, tu te sentais étrangement mieux comme ça. Tu te penchais donc de plus en plus vers ces derniers. Loin de toi l'idée de transformer en femme. Tu n'en trouvais pas l’intérêt de l'être totalement.
Après des années à travailler comme un Machopeur acharné, tu louais un petit lieu, c'était cher, tu n'étais pas dans la ville lumière pour rien. Illumis portait bien son surnom, tu savais plus quoi penser du tien, étrangement. Tu le gardais, comme quoi, tu ne pouvais pas totalement oublier ce qui t'était arrivé autrefois. Tu travaillais toujours, tu avais besoin de décorer tout ça. Tu te laissais aucune limite. Si bien, qu'après deux années à trimer à tout faire, tu ouvrais. Tu avais alors vingt-cinq ans.
Maintenant, ça fait quatre ans que tu étais à la tête d'un cabaret ouvert à tous. Tu avais des imitateurs hybrides ou humains, des chanteurs, des poètes. Tous venaient, car tu n'étais pas regardant quant à tes employés. Tu les traitais comme de la famille. Maxence, d'ailleurs venait parfois pour lire ces poèmes sur la vie d'hybride. Tu étais content d'être libre de faire ce que tu veux. Tu te liais pas à autre humain, le premier t'ayant trahi. Tu ne faisais que moyennement confiance à ces derniers. Tu protèges les hybrides d'Illumis maltraités. Tu leur donnes un travail, comme toi, on t'en avait donné un. Tu leur donnais cette seconde chance.
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MessageSujet: Re: Perso pr babkabsa   Perso pr babkabsa EmptyMer 26 Avr - 22:14

Cameron

L'élégance colle à ta peau, tu es toujours paré pour être beau. Tu n'es pas pourtant quelqu'un de très imposant. Tu es d'une taille moyenne pour un homme parmi d'autres, un mètre soixante-quinze pour un poids relativement dans la moyenne. Il faut dire qu'il n'est pas rare de te voir faire quelques exercices. Ta silhouette est élancée, si bien qu'on te confonde parfois avec un piquet. Tu as quelques muscles, mais rien de très voyant. Ça renforce l'impression de grandeur que tu n'as pas. Tes yeux rouges sont une chose dont tu es content, elle montre que tu es spécial. Avec tes évolutions, tu as gagné en puissance et en prestance. De gamin fragile, tu es passé à un adulte qui peut impressionner. Tu en joues, pérennant une voix d'outre-tombe. Tes cheveux hirsutes disciplinés par tes coups de brosses savants, Noir comme ce que tu portes. Parfois, il t'arrive de porter d'autres couleurs ou nuances. Quand l'envie te prend. Mais rien qui pourra te porter préjudice. Ton image doit suivre ton état d'esprit. C'est obligé. Ce n'est pas toi qui iras te cacher, même du soleil. Il brûle ta peau, quelle ironie pour un hybride en partie feu. Le soleil, pourtant, laisse sa marque douloureuse sur ta peau pâle, vestige de ton ancienne forme de funécire.

Tu as quelques tatouages sur la peau. Trace de ton passé qui te fait avancer. Il n'est pas rare que tu restes un moment à les regarder, celui de ta main plus particulièrement. Il te fait ressembler à un démon. Tu l'es, en quelque sorte, devenu.

Pour ce qui est de tes attributs, tu les sors assez peu, où justement pour effrayer les gens que tu croises. Tu peux sortir de tes épaules deux sortes de bras, noir fin qui possède leur bout des flammes orange et rouge.

Niveau vêtements, tu es habitué à un certain standing, le costume trois pièces, bien classe, ça te fait ressembler à un homme d'affaire ou un serviteur. Il t'arrive rarement de porter des couleurs, c'est soit rouge ou violet. Pourquoi? Parce que tu es un Lugulabre et tu en est fier. Mais rien de fantaisiste. Comme si la moindre parcelle de ce qui pourrait sortir de l'ordinaire était de trop pour toi. Tu tiens à ton apparence et tes vêtements font partie du personnage que tu es devenu.



Profiter de la vie à fond, tel est ta philosophie. Tu aimes vivre ta vie à fond et qu'importe les conséquences. Bien sûr, ça ne se voit pas directement sur ton visage. Ta façon de vivre bien trop calme. Mais tu ne fais rien qui te contrarie. Absolument rien. Cette liberté, tu l'as longtemps voulue, mais tu avais besoin d'une excuse pour voyager, voilà pourquoi tu as un dresseur. Tu as appris à aimer les combats. Toi qui au départ n'aimait pas ça. Il fallait dire que les hybrides n'avaient été pas très gentils avec toi. Donc tu as tout fait pour être redoutable. Tu t'es révélé fort et ta vengeance a été terrible. Le combat n'était qu'une excuse pour montrer ta puissance dont tu es à présent si fier. Cette dernière est devenue ton talon d'Achille, ta faiblesse, ton orgueil te rends par moment prévisible. Rancunier, tu n'oublies rien ou presque. T'insulter amènera de gros soucis à ceux qui osent le faire. Tu es fourbe, tu sais quand frapper pour mieux surprendre, c'est son côté spectre qui fait ça. Tu aimes beaucoup le noir, Tu en portes donc partout. Cet homme est fier de son corps et cette couleur, il pense que ça le met en valeur. Tu n'aimes pas les enfants, tu en as été un. Mais tu sais qu'ils sont cruels. Donc tu les hais du plus profond de ton cœur. Tu as des moments de faiblesse, comme tout homme quand tu vois une bouille trop adorable, tu n'hésiteras pas à pincer les joues de cette personne.

Tu t'attaches rapidement aux personnes qui te sont proches, pour ton grand malheur. Tu préfères qu'on te détestes, tu fais tout pour, quitte à agir comme un grand enfant. Tu es insupportable, tu dis des choses blessantes, tu menaces, mais au final pas grand chose sort de cette histoire. Tu veux t'éloigner d'une autre trahison. Sur ta courte vie, une t'est bien plus douloureuse que les autres. Tu fais le dur, mais tu es un homme tendre. Tu es quelqu'un d’infiniment soigné, si bien qu'il n'est pas rare que tu ranges, tu fais tout pour paraître beau, à tes yeux, tu l'es. Ce n'est pas ce qui compte au final ? Tu te sens bien tel que tu es à présent. Tu t'es battu pour connaître cette plénitude. Tu ne laisseras pas ta gourmandise t'avoir, ni ta flemme te faire avoir des rondeurs qui te sembleraient disgracieuses.

Finalement, malgré ta singularité dont tu te vantes à tort et à travers, tu n'es qu'une personne parmi tant d'autres. Un hybride avec son caractère, ses envies et ses désirs.




Un tintement de cloche, c'est ainsi que tu éveilles cette journée, tu es né il y a moment déjà. Ta mère était fière de toi, tu avais hérité de ton père, le gène de shiny. Sauf que ce père était énigme. Tu espérais vainement qu'il viendrait. Toi et cheveux bleus vifs qui se démarquent de tes cousins, tous violets. Comme tu les enviais dans un sens. Tu étais spécial, tu voulais jouer avec eux. Mais les enfants n'avaient jamais voulu de ta présence. Pourtant, tu faisais tout pour jouer avec eux. Tu te souviens peu de ta petite enfance, ta mère avait beau te répéter ce qui c'était passé. Tu y croyais, mais tu oubliais, vite, peut-être qu'il avait un blocage sur cette partie de ton passé. Tu n'as jamais réussi à savoir. Puis ce n'était pas si important. Tu avais ta mère et elle t'aimait, oui, elle avait toujours ce sourire sur son visage. Toi fièrement, tu lui promets d'être amis avec la bande de la tour des cieux. Tu pouvais entendre la basse que produisait la cloche au sommet. Celle que la bande n'arrêtait pas de faire sonner pour un oui ou non. Grimper les marches avec toute ta bonne humeur et voir ta jeune voisine se faire persécuter parce qu'elle était muette te révoltait au plus haut point. Tu t'interposais, courageusement.

« Ne la touchez pas ?
-Tu vas faire quoi le shiny ? Nous attaquer, tu as juste une couleur rare, tes attaques sont les mêmes que les nôtres. Flammèche et étonnement, tu es nul.
-Laissez-là. »

Tu lançais une purée de pois, tu avais appris cette attaque tout à fait par hasard. C'était pratique pour brouiller les pistes. Tu courrais à t'en faire perdre l'haleine, tenant fermement la jeune fille. Tu réussis à t'échapper de la bande qui sévissait à la tour des cieux. Tu retournas à Parsemille. Après une journée chargée. Ta voisine était sauvée.

Les années suivirent, ta voisine était devenue ton amie, ta meilleure amie, celle avec qui tu disais absolument tout. Tu avais évolué, tu avais à présent les cheveux bruns, tirant vers le noir. Tu étais fier. Tes flammes avaient n'avaient pas la même couleur que les autres. Mais tu étais devenu plus fort. Après tu pouvais lancer une flamme qui embattait ceux qui voulaient du mal à ta mère ou ton amie. Ça ne fonctionnait pas trop sur les hybrides feu. Mais au moins ça éloignait. C'était toi le garçon de ton âge le plus puissant. Tu étais arrivé à monter au sommet de la tour des cieux. La grimpette avait été très plaisante. Tu y étais après toutes ces années, devant cette cloche qui t'avait toujours fasciné. Tu posais une main sur l'imposant objet fait de fer. Tu pouvais sentir sa fraîcheur sous ta main chaude. Tu souriais à la demoiselle. Tu reculais. Tu ne savais pas ce qu'elle faisait. Tu la vis rejoindre les autres. Ces années à tes côtés, c'était un mensonge. Non, il devait avoir un truc. Ce n'était pas possible.

« Pourquoi ? Pourquoi Sandy ? »

Elle ne te répondait pas, elle ne le pouvait pas, elle n'avait jamais eu de voix depuis son enfance. Tu la regardais les larmes pleins les yeux. Tu te sentais mal pour toi, pour elle. Comment tout ça était possible. Tu avais tout fait pour, même l'aider alors que tu n'en avais aucune envie.

« Petit Shiny, cette fois, ne pense pas t'échapper...
-Je ne fuirai pas, je vous battrai.
-Tout ça pour les beaux yeux d'une Lewsor muette, Sandy, je crois que tu as une touche. »

Elle détournait la tête, c'était eux le souci, pas toi, pas elle. Tu étais soulagé. Mais elle s’accrochait à un autre. Un garçon comme toi, avait sûrement évolué, peut-être plus que toi. C'était le chef. Celui qui te persécutait n'était que son exécutant. Tu te battais comme tu le pouvais, mais bien vite, tu te retrouvais dans les vapes, ce qu’on appelle KO. Tu ne pouvais rien contre une horde dirigée de main de maître. Tu étais là au sommet. Tu attendais rien ni personne. Tu reviendrais à toi quelque temps après. Cette expérience t'avait laissé un goût amer. Ta première amie, pire celle que tu avais aimée. Maintenant qu'elle était loin. Ce constat te faisait mal. Tu avais à peine quatorze ans. Tu restais sur le carreau. Tu devais descendre. Assumer ce que tu étais et qu'importe ce que disaient les autres. Ils n'avaient pas le droit de te moquer de toi. Tu n'étais plus un petit garçon. Tu n'avais pas besoin de leur amitié. Ni de celle de l'autre demoiselle. Il se détachait de cette vie. S'éloignant de sa mère. Il avait besoin de faire le point. Il avait un peu honte partir ainsi à l'aventure. Mais il voulait découvrir la région.

Dans d'autres villes, il était plutôt bien accueilli, un shiny, ça ne court pas les ries. C'était peut-être la bande de la tour des cieux qui le persécutait à cause de ça. Mais c'était ridicule. Bien sûr cette aventure ne faisait pas sans obstacles. Tu liais quelques amitié. Tu ne t'en faisais pas plus que ça. Tu avais toujours peur de la trahison, tu restais prudent. Tu avais eu raison d'être prudent. Car de nombreuses fois, on avait profité de toi, de cette puissance que tu obtenais après chaque combat. Ce que tu détestais te battre à cette époque. Tu te battais pour survivre, pour subvenir à tes besoin.

A tes vingt ans, tu croisais une demoiselle, celle-ci te vantait les avantages d'être à Chronos, à manger et à boire ce dont tu manquais de plus en plus. Tu impressionnais de moins en moins, toi, le jeune Mélancolux. Tu devais évoluer, une dernière fois. Mais comment allais-tu t'y prendre. Tu repensais à ce qui t'avais changé la dernière fois l'amour. Mais tu avais appris à tous les détester, mais tu n'allais pas refuser de passer du bon temps. Même si tout cela n'était qu'un mensonge. Toute la gentillesse en toi était partie doucement. Tu es plus cruel à présent. Tu fais exprès de faire peur. Ça te rassure. Tu ne rentrerai pas à Chronos. Car tu n'avais pas besoin d'eux pour évoluer. Pour être plus puissant.

Cette recherche de puissance pris fin à tes vingt-trois ans. Une pierre, tu évoluais grâce à une pierre. Un cadeau que tu avais reçu par la poste, avec un petit mot de Sandy. Elle s'excusait pour ce qui était arrivé à la tour, qu'elle t'avait aimé. Mais c'était trop tard. Tu étais bien loin d'elle et quand tu rentrais à Parsemille, tu la retrouvais allongée sur le sol, froide comme jamais elle l'avait été. Il l'avait tué. Ces salauds ne méritait aucune compassion. Tu avais appris de nouvelles attaques. Elles te correspondait mieux. Aidé de ton attaque déflagration. Tu brûlait tout. Seul ton rire de fou perçait la nuit. Tu étais détruit de l'intérieur.

Longtemps tu errais sans trouver ce qu'il te faudrait, un dresseur comme l'avais dit cette fille. Tu trouvais cette idée ridicule. Tu en avais marre de te battre, de voler. Tu n'étais plus un gamin désormais, mais un adulte. Il était temps que tu te ressaisisses. Tu claquais tes joues fortement. Plus rien ne pouvait t'empêcher de vivre ta vie. Même un dresseur. Cela serait un ami. Auquel tu devrais apprendre à faire confiance. Mais à qui te lier. A quelqu'un qui reconnaîtrait ta puissance et ta beauté. Tu aimais les compliments, pouvait-on t'en vouloir pour ça ?
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MessageSujet: Re: Perso pr babkabsa   Perso pr babkabsa EmptyMer 26 Avr - 22:17

Tenzai

Petite chose fragile dans ce monde, il se démarque pas vraiment du paysage. Il ne tente pas d'être un héros pourtant. Il a une certaine puissance. Il préfère rester parmi les fleurs. Ces cheveux verts foncés sont la démonstration de son type plante. Parfois, une fleur rose y apparaît. C'est une manifestation de son ancienne forme. Il n'en a pas honte. Même si ça le rends féminin. Il est à présent un garçon, mais pour une personne sans sexe comme il était, ce genre de détail n'est pas important. Sa peau est pâle, parsemée de touches brunes. Des tâches qui sont là et partent pas. On dit que c'est de rousseur. Mais il deviendra jamais roux. Il restera le même homme. Pas très grand, mais il préfère. Il est ainsi plus proche du sol. Il a déjà été dans les hauteurs. Il a bien aimé sur le moment, mais il retournera toujours sur la terre. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'il se balade pied nu. Pour ce qui est de la façon de s'habiller. Il ne fait pas très attention à ce qui met tant qu'il est à l'aise dedans. Il n'est pas difficile. Il porte des vêtements larges. Les couleurs sont pas toujours coordonnés, heureusement qu'il a pas mal de chance de ce côté, là. Ces ensembles, bien qu'un spéciaux sont accordés. Il flotte dedans régulièrement, il n'est pas à l'aise avec les vêtements collants. Il en porte presque pas, même en hiver, où il est obligé de rentrer car il est frileux. Ses yeux sont verts foncé, eux aussi. À travers ces derniers, on peut voir la pléiade d'émotions qui peuvent le traverser. La peur, la curiosité teinté de prudence, beaucoup de cette dernière, mais aussi la joie simple qu'il peut exprimer par son sourire tendre ou quelques mots. Son timbre est d'ailleurs très guilleret, jeune, sans aucun doute. Ce qui explique son apparence si jeune. Il ne deviendra pas ridé, même s’il en a envie un jour. Pourtant, il a des années derrière lui. Tout un tas d'années qui peuvent paraître ennuyeuses. Lui, il garde sa façon de penser. Simple, mais les pieds sur terre. Son apparence n’est que l'enveloppe qui entoure sa personnalité.




Tenzai, n'est pas habitué au monde extérieur, ça se ressent dans sa façon d'agir, de penser et même de vivre. Il a toujours été entouré de fleur durant sa vie. Les paysage triste qu'autrefois il peuplait de ces couleurs douces et belles ne sont qu'un vague souvenir, un cauchemars enfoui dans son être. Il aime le monde, ce n'est pas le souci, c'est juste que les conflits ne sont pas fait pour lui. Il préfère la paix. Il sourit souvent pour embellir ce monde. Le rendre plus respirable. Même si pour cela il doit oublier qu'il préfère rester avec ces amies plantes.Il a du sûrement se battre, mais c’était toujours à contre-cœur. Il y avait plus fort que lui, il le savait, il n'était qu'un point dans cette vague. Il ne veut en aucun cas la place d'un autre, il est sûrement trop généreux ou trop naïf pour avoir ce sentiment d'appartenance. Même ses vêtements, il est capable de les donner.Il donne sans rien attendre en retour, ou peut-être un sourire. Il adore le voir fleurir sur un visage. Il tente de voir la vie toujours du bon côté, mais ce n'est pas évident, surtout quand il voit des choses horrible. Il ne sera pas le justicier qui sauvera la demoiselle. Il s'en sent incapable. Il préfère pleurnicher et attendre que d'autre sauve cette personne. Il félicitera le sauveur et essaiera de refaire sourire la sauvée avec ces amies végétales colorées. Il donnera des fleurs qui rendront le sourire, le langage des fleurs comme seul messager. Ses paroles sont souvent brouillonnes, incompréhensible, à peine audible. Il ne sait pas s'imposer, pourtant certains hybrides le respecte. Mais ça le gêne plus que ça le flatte. Cette particularité elle fait pourtant de lui. Il a accepté du mieux qu'il pouvait. Il ne poursuit pas qu’un seul but de rendre le monde plus coloré, plus fleuri. Il aimerait aussi le voir plus en paix. De tenter de rendre plus joyeux. Mais les confrontations font partie de ce monde. Ça le rends triste, il n'y pense pas trop. Il fait que peu confiance aux personnes, c'est progressivement qu'il donnera son amitié. Espérer plus est un peu prématuré, mais aussi quelque chose qui n’atteint pas encore son esprit. Il ne connaît rien à l'amour. Juste un principe général, il a sûrement déjà eu ce sentiment, il a oublié dans les limbes de son esprit. Trop flou pour avoir ne serait ce qu’une réponse aux grandes questions qui concerne l’âme et sa complexité. Il préfère avancer que regarder en arrière. Le passé ne fera que blesser. L'avenir sera fleuri, c'était son envie.

Il déteste les villes à l'air irrespirable, les grandes villes, il préfère les éviter autant que possible. Heureusement qu'il y a quelques espaces verts. Ça lui permet de supporter un peu ces dernières. Il n'est pas bien difficile niveau nourriture, mais rendra hommage à toutes les choses qui composent sa nourriture, avec une pensée pour ces dernières. Il n'en veut pas à Arceus pour ce changement, il peut toujours se rouler dans l'herbe, c'est ce qui compte. Sans ce moment rien qu'à lui, il ne serait pas le même homme. Le ridicule n'est pas une notion connue pour lui. Le rire est rare chez lui, il peut s'amuser malgré tout.




Rien ne destinait à cette petite créature soit si importante, pourtant elle l'est devenue en quelque sorte. Né d'un désir d'Arceus, il vint au monde. Dans la région de Sinnoh, entouré de fleurs, comme il les aimaient et en prenait soin. Il était heureux d'être celui qui pouvait nettoyer l'air et la terre des vilaines choses qui traînait. Il gambadait avec toute innocence sur les cendres de ces combats hostiles dont il se cachait avec frayeur. Il n'était pas fait pour le combat, il préférait les fuir comme la peste. Il fleurissait ces endroits avec un grand sourire. Voir ce paysage si triste prendre des couleurs était un des plaisirs qu'il avait du mal à se passer. Malheureusement l'hiver le forçait à rentrer dans sa tanière. Cet endroit était si froid. Si sombre. Il avait beau le décorer de fleurs, elles perdaient toutes les couleurs, alors dépité, il s'endormait pour se réveiller qu'au printemps où le soleil venait gorger tes feuilles de bonne énergie. Les fleurs étaient de retour avec lui. Rien ne pourrait changer ça. C'était ce qu'il croyait. Sa vie quotidienne lui allait parfaitement. Les fleurs, le vent, la pluie, le soleil et les autres pokémons qui venaient timidement le voir. Sauf qu'un jour, tout changeait. Le courant d'air avait quelque chose de pas normal. Il aurait voulu le fuir. Il l'avait fait, autant que ses petites pattes pouvaient. Cette aura de puissance le frappait. Le transformant. Le changeant à jamais.

Il avait fermé les yeux durant ce changement, quand il les ouvrait, il était plus haut. Il devait se baisser pour voir les fleurs comme il avait l'habitude de le faire. Il restait là à se demander comment était-ce possible. Comment tout ça était arrivé, oui Arceus lui avait qu'il pouvait combattre à un truc, mais il avait refusé, il n'avait sa place de cette bataille, ni aucune d'autre. Alors il pleurait, il regrettait d'avoir été si positif, qu'il pourrait refleurir les cendre des combattants tombé. Il pleurait longtemps sur son sort. Puis il regardait ce corps, cette nouvelle donnée. Ces pattes n'était plus qu'un mauvais souvenir. Il avait des mains, elle était grandes à ses yeux. Il sentait le vent sur lui. Il remarquait qu'il était nu. Sans trop de poil, sauf ceux qui restait accroché sur sa tête. Il avait beau tirer, ça restait plus ou moins. Quelques mèches vertes qui étaient restée dans sa main. Il souriait, parce que ça faisait mal de les tirer, il s'arrêtait, il avait jamais aimé la douleur. Il marchait , dans son champ de fleur, il se demandait pourquoi les gens criait, le vent caressait cette peau, nue. Il n'en avait pas grand chose à faire. Mais les cris se multiplièrent. Un humain hurlait des mots dont il n'avait pas saisi le sens. Il lui avait jeté de ces choses que les hommes nommait vêtements. Il n'était pas non plus né de la dernière pluie. Il savait que ça servait à cacher le corps des humains, le tien, ressemblait pas mal à l'un d'entre eux. Sauf qu'il était toujours petit. Ce qui le rassurait, il était toujours proches de ces chères amies plantes. Il tendait ces choses, se demandant à quoi tout cela servait, à part te couvrir. Les mettre semblait bien compliqué. Il les posait sur lui, espérant ne pas avoir trop de cri, mais c'était quelque chose qui ne vint jamais. Ces hurlements lui faisait mal. Il se repliait sur lui-même et attendait que ça passe.

Il était resté un moment comme ça, à attendre que ces choses finissent par se calmer. Les fleurs près de lui le rassurait. Il reprenait doucement son visage joyeux, celui qu'il arborait en temps normal. Ce corps n'était pas fautif. Arceus n'était pas fautif. C'était un changement pour lequel il devait s'adapter. Mais il savait que faire de ces choses. Il était très troublé. Il se cachait aux gens. Mais en même temps, il était attiré par ceux qui comme lui, aimait les fleurs. C'est ainsi qu'à moitié nu, il rencontrait certaine personne, en restant quelqu'un de très prudent. Il s'approchait, c'était un humain, ceux qu'il fuyait normalement en le voyant ainsi vêtu, si on peut nommer ça habillage. Des morceaux de tissus à peine posé sur sa peau. Il sourit à cette personne au petit soin avec ses amies les fleurs.

« Bonjour, petit hérisson.
-...Je suis Shaymin, pas hérisson.
-Tu sais que ce tu viens de dire risque de tenter l'humain que je suis de te capturer... »

Il reculait cet humain parlait de l'enfermer. Il ne voulait pas, il aimait cette liberté, il ne voulait pas quitter ces fleurs. Il pleurait à nouveau, il ne pouvait pas laisser pas les gens l'approcher. Il devait être auprès de ses amies. Pour toujours. Il avait toujours été comme ça. Pourquoi ça changerait ?

« Ne pleure pas petit hérisson, bien que c'est tentant, je crois que tu pourrais t'occuper de ces fleurs.
-Je le fais déjà, je ne suis pas un nul. »

L'humain riait, il frottait ses cheveux. Il avait beau reculer, il s’arrêtait que quand il avait assez, juste son sourire qui était là. Trop grand, trop bizarre pour lui. Il partait, et lui restait seul, ça lui allait très bien. Il n'était pas quelqu'un de social. Puis vint à nouveau l'hiver, il l'avait senti, encore plus fort sur sa peau nue. Il devait se mettre à l'abri et le plus vite possible. Il avait retrouvé son terrier celui qu'il utilisait alors qu'il était encore plus petit. Mais il entrait à peine son bras. Il récupérait les fleurs séchées de sa main, elles se désintègrent, lorsqu'il ouvrait sa main, les morceaux s’envolèrent, lui laissant qu'un goût amer dans la gorge.

Il trouvait une maison, remplie d'humains, il ne voulait pas y entrer, il allait encore se faire avoir. Surtout s'il disait comment il s'appelait. Il devait pas provoquer la convoitise. Il devait juste être un hybride perdu, comme d'autres. Il en voyait un, ses cheveux rouges ne laissant aucun doute sur sa nature. Lui aussi avait subi cette transformation, il était plus habillé que lui-même. Il voyait sa main, tendue vers lui. Craintif, il n'osait la serrer. Mais gentil, il lui souriait, comme il le faisait d'habitude.

« Drôle de chose qui nous est arrivé ? Darumacho et toi ?
-Shay... »

Les regards des humains l'avait fait taire, le garçon plus grand que lui se mit tout près de lui. Trop. Mais il se mettait entre lui et les humains. Il l'en remerciait. Il l'avait sauvé. C'était sa pensée en cet instant.

« Merci...
-Je sens que tu es légendaire, n'en dit pas plus. »

Il hochait la tête, l'autre avait dit ces choses si bas qu'il avait eu du mal à saisir tout correctement. Il décidait de lui faire confiance. Assez pour le défendre. Il combattrait pour lui. Parce qu'il se sentait incapable de le faire de lui-même. C'était un peu gênant, mais le combat n'était pas fait pour lui. Il préfère toujours donner des fleurs roses. Le jeune homme avait pas mal de force. Il était chaud en plus. C'est doucement, mais sûrement qu'il s'approchait de ce jeune homme. Il pouvait être craintif, mais il restait quelqu'un de bien et de reconnaissant envers son défenseur. Chaque hiver c'était pareil suite à ça. Il retrouvait le Darumacho qui lui avait donné un petit nom « Tenzai ». Mais contrairement à cet homme, il ne grandissait pas, il ne perdait pas cet éclat dans son regard, ces cheveux ne devenaient pas blanc. Il ne comprenait pas ce qui arrivait. Pas qu'il veuille grandir, il était déjà trop grand à son goût. Mais que le temps change tellement cet homme qui a chaque hiver était là pour lui.

C'était lui qui lui avait appris à s'habiller, maintenant, il portait des vêtements normalement. Bien qu'il le touche, il avait trouvé ça étrange. Pourquoi faire des choses pareilles. Il avait aussi appris à s'exprimer correctement sans dévoiler son identité légendaire à tout bout de champ. Il s'était accroché à cet homme. Même si les humains étaient parti, il avait mis des fleurs partout autour de la maison pour une raison obscure. Il avait juste senti ce besoin de le faire. C’est qu'il avait accompli. Comme chaque hivers qui suivait la décoloration de son ami. Mais il était là. La force le quittait, et lui restait là à se demander quelle serait sa vie sans lui. Il avait à present compris qu'il était immortel, figé dans ce temps. Jouant contre Dialga. Il s'en voulait un peu, il s'occupaient de ses fleurs et revenait juste le voir quand le froid se faisait mordant. Il avait toujours ses fleurs, il évitait tant que possible le contact, mais il était l’exception. Celui qui avait réussi à composer avec sa timidité, celui qu'il avait encouragé à faire face sans succès. Il resterait un pacifiste. Combien d'années étaient passé sans qu'il quitte son champ ?

Mais un jour d'été, tout changeait. Le vent était très mauvais, même si le ciel était dégagé, il se dirigeait vers la cabane, celle qui lui servait d'abri. Il sentait que quelque chose se passait. Il avait cœur qui battait à cent à l'heure. Il poussait la porte, il voyait la silhouette courbée de son amie, ses cheveux blancs qui s'en allait de son crâne. Ses yeux fermés, un visage pleins de plis que son ami nommait rides avec un sourire qui n'appartenait qu'à lui. Mais là, il était juste endormi, la sieste était devenu depuis quelques hivers. Il parlait souvent de sa famille, de ce qu'il faisait les moments où il n'était là. Ce dont il parlait pas avant. Les années l'avaient changé. Pas seulement en apparence. Il était devenu si grand, puis là, il était là sur sur ce canapé. Là où il pouvait lui toucher la joue sans se mettre sur la pointe des pieds. Comme il s'était amusé à le faire. Mais ce n'était pas le moment de divaguer dans ses souvenirs qui étaient pour lui de très bons instants. Il secouait avec douceur le vieil homme qu'il était. Il avait beau regarder ses mains son corps. Rien ne changeait pour lui. Il était toujours le même garçon. Il avait vu dans ces miroir, cet être qu'il était toujours. Ce corps si minable, ses cheveux qui le faisait sourire. Mais, le vieil qu'il agitait avec tendresse ne bougeait , il restait parfaitement immobile. Il voulait qu'il réveille, mais tous ces cris ne semblait pas le réveiller. Sa vue se troublait, ce n'était pas possible, il ne pouvait pas le laisser. Il pleurait, comme le jour où tout avait changé. Il se pliait alors qu'autour de lui le sol semblait se dérobait sous lui. Il avait perdu son seul ami. Celui a qui il avait tout confié durant ces années, combien, une soixantaine d'année.

Les jours qui suivirent, il faisait des allers et retour, fleurissant son ami qui commençait à sentir mauvais. Mais les fleurs qu'il apportait étaient de plus en plus odorante. Si bien qu'il finissait par recouvrir le canapé où était installé l'homme. Il ne pouvait pas rester ici. Chaque année, il se demanderait encore où serait son ami. Alors en prenant les graines qu'il pouvait, il partait. Il ferait un autre champ de fleur. Il avait peur des gens, pourtant, il écoutait ce qu'ils disaient. Il n'avait jamais quitté Floraville avant ça. Soixante années envolé. Que pouvait-il faire de cette vie sans ce soutien. Il s'y habituait après tout. Il marchait longtemps, jusqu'à ce que la faim le stoppe. Il mangeait des baies. Toujours présente, quand autrefois deux lui aurait suffit pour une journée, à présent, il devait en prendre assez pour remplir ses poches larges. Comme les vêtements qu'il avait fini par adopté par convenance. Se sentant plus à l'aise avec ces derniers.

Il s'arrêtait de temps à autre, s'éloignant le plus des gens pourtant qui lui voulait aucun mal. Il avait toujours eu ce souci, même avec les hybrides. Une part de lui voulait faire honneur à ce vieil homme qui était parti pour un monde meilleur et l'autre restait coincé dans ce qu'il avait été toutes ces années. Une être simple, juste à prendre soin de son parterre de fleurs. Cette perte avait changé son être, il ne pourrait plus vivre pareil. Il le savait. Alors, avec la chaleur de son visage qu'il avait eu pour lui. Il s'avançait vers les gens. Ce n'était pas glorieux, juste un bonjour, des moments à écouter attentivement. Mais une rumeur avait fini par filtrer à ses oreilles. Une personne était prête à recueillir, lui, sans rien demander en retour. Mais c'était loin. Johto, une autre région. C’était une aventure d’en changer après tout ce temps...

Ses jambes comme seul moyen de transport, il passait de ville en ville, saluant d'une voix basse les gens qu'il croisait, il avait encore beaucoup de chemin et les villes se faisait de plus en plus fraîche, mais seule Frimapic avait un port qui pourrait le conduire à l'endroit où il désirait aller. Car le garçon malgré sa marche et l'apprentissage à la dure de la débrouillardise ne l'avait pas changé d'avis. Il devait trouver un joli endroit pour ces chères fleurs. Et ce n'était plus dans cette région qu'il avait tant aimée. Mais la montagne ne lui donnait pas grand espoir pour son rêve. Le mont couronné était hostile, même pour lui. Il se réchauffait comme il le pouvait grâce à ces vêtements. Ceux qu'il avait récupéré dans un sac abandonné sur un autre homme qui sentait mauvais. Ce qu'il s'était empressé de couvrir de fleurs diverses. Avec un petit sourire. Il se disait aussi qu'il avait beaucoup de chance de pas croiser Dialga ou Palkia, il était que ces deux-là lui en voudrait de ne pas avoir participait à leurs échanges plus ou moins amicaux. Mais que pouvait-il faire ? Cette odeur horrible, il avait beau lavé ce sac, elle partait pas. Il prenait juste de quoi s'habiller chaudement et le remettrait à sa place. Il n'avait pas conscience que le vol c'était mal. Il avait remboursé à sa manière cet âme perdue. La montagne n'avait pas fini de le surprendre. Des chemins rocailleux qui laissait filtrer par endroit l'eau dont il se délectait, les poissons qu'il avait pêché, non sans s'être retrouvé mouillé de la tête au pied. Ce qui avait créé et freiné pas mal sa progression dans les veines du Mont Courroné. Bien entendu, il n'était le seul voyageur de ces lieux. Des montagnards le trouvant mignons lui avait donné des cookies ce qu'il avait accepté avec pas mal de prudence. Surtout en voyant leurs regards sur lui. Il avait peur, si peur qu'il était parti sans dormir. Les humains parlait d'une chose nommée contrat et il n'en voulait pas.

Il se perdait, de nombreuses fois. Trop, si bien que lorsqu'il arrivait sur le bon chemin pour Flocombe, il sautait de joie. Il s'était même roulé dans la neige en riant comme un fou. Chose qu'il regrettait assez vite en éternuant. Il était trop tard pour regretter son empressement. Le soleil, même timide lui avait beaucoup manqué, combien de temps était-il dans cette grotte, trop longtemps. Il respirait à fond. Il avait froid. Mais était plus proche du port. Il devait sûrement se faire un peu d'argent pour pouvoir grimper dans ces choses voguant à d'autres lieux. La marche jusqu'à la ville était longue, heureusement que le lac avait été un très bon arrêt pour lui, si calme, si apaisant, il s'était surpris à y planter quelques graines dans l'espoir qu'elles pousseraient dans ce paysage hostile. Il se sentait comme proche de ces lieux. C'était la même ambiance que son champ de fleur. Il n'arrivait pas à quitter cet endroit, pourtant il le devait, pour son bien, pour pouvoir vivre sans cette aide que lui avait donné son ami. Il lui chaque jour un peu plus. Mais gardait l'espoir de retrouver un lieu où il pourrait faire confiance à quelqu'un. Johto et sa rumeur, faible mais présente toujours dans sa tête. Il laissait la plupart de ses graines dans ce sol. En disant qu'il pourrait peut-être revenir un jour.

Quand Flocombe était devant ses yeux, toutes ces craintes revenaient comme si on l'avait frappé. Des humains qui le regardaient, certains avec ce même regard qu'avaient eu les montagnards. Ce qui lui donnait envie de retourner au lac, mais qui donc pouvait-il faire confiance, personne. Alors. Prenant tout son courage, il laissait la ville le surprendre. Les humains étaient effrayants et ingénieux. De toutes les villes qu'il avait traversé, celle-ci réussissait à couper le souffle du garçon. Comment de si jolie maisons pouvaient sortir de cette terre si froide. Il avait si froid que chaque soir, il allait se réfugier au centre pokémon. Un endroit pour lui. Car il avait d'autres voyageurs. C'était encourageant, certaines personnes l'approchaient, lui donnant à manger. Ces personnes était pour lui un rayon de soleil dans ce monde hostile.

« Quel est ton nom petit ?
-Tenzai.
-Juste Tenzai ?
-Oui, c'est suffisant n'est-ce pas ?
-Alors tu es un jeune hybride.
-Oui madame ! »

Dans son esprit, il était toujours jeune, malgré que les années avaient défilé sur le visage de son ami, laissant ses ravages. Il serrait les poings. Il devait faire son deuil, comme à son habitude, il souriait et laissait les dames le gâter avec beaucoup de plaisir. Mais les fleurs lui manquait, il avait quelques plantes dans le centre, mais pas assez pour lui. Avec l'aide des infirmières, il trouvait quelques pièces par ci, par là. Un jour, alors que le soleil était bien haut dans le ciel. Il quittait cet endroit pour aller au port Johto était pas donné, tout l'argent qu'il avait pu récupérer avait été dilapidé dans ce voyage.

Ne pas être sur la terre ferme était très mal accepté par son corps. Il se mettait à vomir souvent, une vraie galère. Il espérait que cette aventure ne soit pas inutile. Il était tellement mal au point qu'il était trop faible pour lutter contre les bras rassurants des marins. Il se réveillait toujours en panique et malade comme jamais. Les vagues ne faisant qu'empirer son mal. Sa difficulté à sentir ses bras puissants l'entourer, ces mots qui n'atteignait pas son cerveau. Mais il arrivait par miracle à ne pas être lié à ces personnes. Il pouvait mettre fin à leur collaboration facilement. Il n'expliquait pas ce phénomène. Il était content qu'il se produise, tout simplement.

Johto était devant lui, Oliville, une petite ville Portuaire. Il était très heureux d'y être, c'est bizarre cette ville. Comme si elle sortait d'un autre univers, ça n'avait rien à voir avec Sinnoh. Il se mettait à courir en riant. Ce qui amusait la plupart des passant, mais il s'en fichait. Tant qu'ils ne l'approchaient pas, il était content. Les fleurs étaient différentes que celles qu'il avait vu toute sa vie. Ça le fascinait, il passait un moment à récolter ces nouvelles graines. Il avait les poches bien remplies quand il dormait le soir au centre pokémon, toujours sous le nom de Tenzai. Ce surnom qu'il avait adopté avec les années pour cacher son vrai nom, Shaymin. Une identité dans laquelle, il pouvait être autre chose que la créature que tant de dresseurs cherchait. Juste un hybride avec un nom. Un hybride plante qui aimait être parmi les fleurs. Mais son séjour ici ne pouvait pas durer. D'autres pourrait se rendre compte de son immuabilité. Il partait un peu à regret. Cherchant cet endroit, ce lieu où lui poserait aucune question. Il faisait même un détour à Rosalia. Il s'amusait pendant un long moment avec les feuilles rouges qui jonchaient la tour carillon.

Après toutes ces années de voyages, d'errance, de doutes et surtout de solitude qui la trouvait. Cet endroit dont il avait entendu que vaguement parlé. Il voyait des enfants s'amusant dans un jardin bien démuni de fleurs, c'était impensable pour un lieu qu'il espérer, heureusement. Il avait des graines. Mais comment aborder cette dame, elle était certes plus jeune que lui temporellement parlant. Mais elle était bien plus impressionnante qu'il était. Il décidait qu'il reviendrait demain. Il planterait quelques fleurs dans cet endroit. Il en avait bien besoin. Ce lieu puait, et ce qu'il avait su supporter, c'était bien ça. La puanteur. Il avait tout fait pour assainir les lieux qu'il avait fréquenté. C'est donc avec un but qu'il revenait le lendemain, évitant les enfants. Il était pas assez confiant pour aller vers eux, mais acceptait leur aide. Il n'était pas méchant à ce point. Pour eux, il devait être sûrement étrange avec ses plantes. D'ailleurs l'un d'entre eux l'interpellait.

« Tu es un drôle de jeune garçon. Hybride ou humain ? Et pourquoi ici ? D'où tu viens.
-Je...
-Allons, ne gênez notre petit jardinier. »

Il se mettait à rougir à la mention de jardinier, la dame était venu à lui et les enfants étaient tous partis. Il avait peur. Mais ça faisait plusieurs jours qu'il venait pour dormir ensuite à la belle étoile. Il avait eu de la chance qu'il ne pleuve pas.

« Tu es perdu, je peux t'aider, je mets beaucoup d'enfant comme toi à l'abri...
-Je... Ma...
-Timide, je suppose. Si tu es perdu, tu peux dormir à la maison, je te promets qu'aucun de ces enfants ne te fera de mal. Tu me fais confiance ? »

Il hochait la tête, incapable de dire un mot de plus. Il suivait simplement cette dame avec ces vêtements sales et abîmé. Même s'il les lavait régulièrement, et on pouvait le voir avec les couleurs qui ressemblaient plus à rien à ce qu'elle avaient été à l'origine. Mais la dame ne faisait jamais rien pour le déranger, ne le touchant que si c'était nécessaire, mettant une distance entre eux. Il fallait pas mal de temps pour que le jeune homme s'adapte à cette vie. Un drôle d'endroit où d'autres jeunes hybrides allaient et venaient, certains voulant jouer avec lui faisait des choses qui le gênait. Il pouvait jouer, mais jamais à des jeux qui demandait qu'on le touche. D'abord un peu récalcitrant, puis il prit un plaisir à courir dans tous les sens avec les jeunes qui passaient. Jamais les personnes restaient. Il se demandait quand son statut serait en danger. Il restait là, toujours le même. La dame finirait par se poser des questions. Elle venaient juste moins vite qu'il avait prédit. Un soir, elle s'approchait de lui.

« Dis-moi petit, n'aurais-je pas affaire à ce que l'on nomme légendaire ?
-Ne le dites à personne !
-Ton secret est bien gardé, petit Tenzai. Essaye de t'entendre avec mon fils.
-Qui c'est Zigan ? Le grand en rose ?
-Lui-même. Passe une bonne nuit. »

Il restait interrogatif, comment s'entendre avec ce grand garçon, il devait faire deux fois sa taille, bon, il exagérait un peu beaucoup. Mais pour lui, il était un géant. Ce garçon qui faisait tout pour l'éviter. Il n'allait pas courir après ? Si ? Il ne savait pas trop comment se comporter. Il se posait un millier de question. Comme d'habitude, laissant son opportunité s'échapper et à chaque fois qu'il le voyait, rien ne s'arrangeait. Il fallait qu'il ,ose. Qu'il soit un peu plus comme Darumacho. Courageux.

« Grand frère Zigan ! »

Il ne restait pas qu'à savoir comment il réagirait, étonnement, puis ignorance. Mais il ne voyait pas sa réaction comme un mal. Mais une progression.
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MessageSujet: Re: Perso pr babkabsa   Perso pr babkabsa EmptyMer 26 Avr - 22:20

Samuel


Physique •

Toujours à regarder quelque chose, tu en as toujours le chic de regarder de près des choses qui semblent sans intérêt. Pourtant, tu sais que certaines choses te resteront inconnues. Tu ranges ta loupe, et tu te lèves, tu as un peu mal partout ; c'était aussi se mettre à la hauteur du sol. Toi qui étais grand, peut-être trop un quatre-vingt-six et une stature légèrement musclées. Tes observations en pleine nature t’ont donné un bon physique. Tu n'es pas le plus musclé des hommes, mais tu peux aisément courir une bonne distance sans trop t'épuiser. Se faire courser par une bande de Tauros t'avaient servi de leçon. Tes yeux sont bleus, comme le ciel. Tu l'observes quelques instants avec un vague sourire. Tu pouvais voir certains hybride qui traversais l'azur de ce matin avant de passer une main dans tes cheveux courts. Ils te chatouillaient tout de même la nuque, tu devrais bientôt les couper et aussi renouvelé la couleur, tu pouvais voir la racine redevenir rose bonbon, comme tu n'aimais pas cette couleur, ça faisait tellement peu sérieux sur toi. Surtout quand tu voyais ta sœur. Bon sang. Rien que d'y penser, tu te sentais déjà vieillir, alors que tu as de belles années devant toi. Ta peau prend le soleil, mais tu restes que peu longtemps coloré, le caramel, cette teinte magnifique et dangereuse ne restera donc jamais sur tes bras. Tu lâches un soupir, quand une jeune personne se présente à toi pour avoir de quoi partir à l'aventure, ils pensent souvent se tromper. Tu n'es pas un professeur normal, on te l'as déjà dit. Tu n'as jamais voulu suivre aucune marge, tu te sens bien tel que tu es, tant que tu n'es pas rose, c'est ce qui compte, maudites repousses. Tu retires ta chemise, heureusement, tu portes un t-shirt sans manche pour masquer tes muscles. Mais on peut voir ton épaule, un tatouage. Tu l'as fait sur un coup de tête. Tu ne regrettes rien, car il te distingue encore plus des autres.
À l'extérieur, il n'est pas rare que tu portes une cape, ainsi que des protections. Tu as reçu assez de coups pour que tu n'oublies plus ce genre de précaution à présent. C'est aussi pour ça que tu es armé. Tu ne te battrais pas, mais c'était là pour dire que tu pouvais te défendre. Pour la blouse, tu la portes quand tu n'avais pas le choix. Lors des réunions ou des événements officiels, hors la remise du nécessaire, vu que de toute façon, ces jeunes avaient tendance à venir trop tôt ou trop tard.

Caractère •

D'ailleurs, tu sais que ton caractère peu parfois en surprendre. Tu es timide, tu ne parles que tu le dois. Même si tu es le premier à te chamailler avec ta chère sœur qui trouve toujours le moyen de te faire perdre ton calme. Tu es curieux, tout ce monde es fascinant, tu découvres certaines choses, tu confirmes ou nies des hypothèses en quatre-vingts ans, toutes les connaissances des professeur pokémons étaient chamboulée, et même mieux certains de tes collègues étaient des hybrides, tu étais heureux de cette diversité même si tu demandais comment eux pouvait voir la chose, ta grande timidité t'avais fait rater de belles occasion. Tu écoutes toujours ce qu'on te dit. Tu distilles les informations. Tu es quelqu'un d'intelligent. Tu as beau te chamailler avec la seule personne de ta famille de manière assez sommaire. Tu n'es pas pourtant dénué d'intelligence, tu es plus du genre à faire des remarques intelligentes qui sont censées faire réfléchir. Tu cautionnes toujours la science, mais tu sais que Hybride comme humain, les personnes sont entourées de mystère, il est de ton devoir de tout découvrir. Tu adores les plus jeunes, tu leur envies cette insouciance, la même que tu ne peux supporter d'Evangelyn. Tu la trouves attachante. Tu es aussi très sceptique, il t'a fallu un bon nombre d'années avant de croire en l’existence de d'hybride spectre, pourtant, tu savais pertinemment qu'eux aussi avait changé. Mais quand tu te demandais ce que c'était. Tu te décidais simplement à des hybrides comme les autres, rejetant un peu ce que les encyclopédies pouvaient dire sur eux. Tu lis beaucoup, tu as ce goût pour la culture. Tu cherches toujours à l'enrichir, tu as un intérêt particulier pour ce qui en rapport avec ton métier. Tu es quelqu'un qui aime ça. Tes recherches t'ont rapproché des hybrides, plus que des humains. Tu sais qu'il y a une gueguerre qui se trame. Tu ne t'y mêles pas vraiment, tu distribues juste de quoi démarrer une aventure à une personne innocente. Ce qu'elle fait après, cela ne te regardait pas vraiment, même si tu n'aimais pas trop que les humains comme les hybrides se frappent à cause de leurs différences. Tu ranges tes affaires, il est temps de rentrer. Tu le fais souvent, tu n'es pas non plus un grand maniaque. Tu as ton ordre à toi. Tu peux tout retrouver et c'est ce qui compte. Pour ce qui est de l'amour, tu sais que peu de choses dessus. Mais tu sais que tu apprécies la vue d'une femme. C'est un bon point. Un départ. Mais après ? Peu de personnes apprécient ta curiosité, presque maladive. Tu veux tout savoir, pourtant, c'était impossible, même pour un prof. L'inconvénient quand tu passes ta timidité, c'est de débité un flot d'informations pas toujours intéressantes quand elle semble combattue. Quand on t'y force un peu.

Histoire •

Cette histoire, c'est la tienne, la génétique a fait que tes cheveux sont roses, tu te disais à plusieurs moments si tu n'avais pas un ancêtre hybride, après tout en quatre-vingts, il y a moyen de faire deux générations ou trois, si on allait vite. Tu es né, il y un moment de ça, un quart de siècle, ça fait pas mal d'années que tu es sur terre. Depuis tout petit, tu as été curieux, parfois trop. On ne comptait même plus les accidents domiciles avec toi. C'était encore pire quand ta sœur mettait son grain de sel. Tu formais un duo improbable avec elle. Bien qu'elle t'ai affublé d'un nom raccourci. Elle ne savait donc pas faire les choses normalement. À quatre ans, te voilà avec un diminutif, Samy. Tu l'aime comme tu le détestes. Tu t'y es surtout habitué en plus de vingt ans. Son énergie était toujours trop débordante. Quand tu étais jeune, tu arrivais à suivre, aujourd'hui, tu préfères rester sur tes recherches. Tu t'es chamaillé de nombreuses fois avec celle qui comme toi avait du sang de tes parents. Ses cheveux roses étaient si longs. Tu les enviais un peu. Elle s'est servie de cette couleur naturelle pour te rendre moins sérieux. Alors que tu étais sûr de ce que tu avançais. Tu étais jeune et te tromper et tellement arrivé que tu ne comptais même plus tes déceptions. Tu as toujours le nez, soit dans les bouquins, soit à observer la nature et les hybrides. Tu étais très curieux. Tu posais un tas de questions plus ou moins compliqué aux gens que tu croisais, tu notais tout sur un carnet qui se remplissait toujours trop vite.

Tu as suivi des cours, l'école de dresseur, sauf que toi, tu ne voulais pas partir à l'aventure et vivre sans le sou. Tu voulais étudier les hybrides et surtout comprendre pourquoi Arceus avait changé les gens. Mais aussi voir si effectivement, tu avais des ascendances de pokémons. Ton sérieux est toujours un objet de taquinerie pour ta sœur alors pour te distinguer d'elle, tu t'es tien les cheveux en bleu, comme pour dire que tu étais bel et bien un garçon. Et non une demoiselle cachée.

Tu as été un assistant, un assistant dévoué pour ton modèle. Tu étais tellement admiratif de son travail. Tu le suivais partout, absolument. Ce qui était bien entendu une manière d'apprendre correctement, mais qui avait le don d'énerver celui qui devait t'enseigner tout. De l'autre côté, ta sœur est partie, pas pour faire des arènes, non, pour faire de spectacle et habiller comme des grosses poupées, ses hybrides. Tu les plaignais sincèrement. Tu restais aux côtés de cette source de savoir jusqu'à ce qu'il en aille assez et te laissât le laboratoire, alors qu'il partait en retraite, tu l'avais épuisé. Son histoire d'amour avec sa fille l'a achevé. Tu en étais tombé amoureux. Une jolie demoiselle qui lui disait toujours des mots gentils, alors, il lui avait répondu avec joie. Tes sentiments étaient partagés, tu étais heureux en ces moments. Tu supportais le regard du professeur. Alors quand les messages se sont faits rares entre vous, malgré la séparation. Vous étiez amoureux. Tu combattais cette distance, tu pouvais la rejoindre, mais tu n'avais pas de temps à perdre et un laboratoire à gérer. Tu roulais des yeux. Tu passais une main sur les nombreux ouvrages qui composaient la décoration. C'était à présent une histoire ancienne. Elle avait trouvé un autre prétendant. Tu étais, bien entendu, très triste, mais c'était la vie...

Tu prenais les pokéballs en main, ces appareils sont décidément très pratiques. Tu souriais et les rangeais, à ta façon, de toute façon, toi, tu t'y retrouvais, c'était ce qui comptait vraiment. Tu serais bientôt une personne qui donnerait des pokéballs, un pokédex et des instructions pour lier des pactes correctement, sans blesser son hybride.

Tu continuais tes observations, pas toujours discrètement, tu as été pas mal frappé par des hommes et des femmes hybrides. Tu restais néanmoins très curieux. Tu rencontras ainsi la deuxième femme qui su attirer ton regard. Une hybride farouche qui refusait tes petits gestes. Pourtant bien innocents. Tu sais à peine embrasser. Ton manque de pratique est flagrant de ce côté-là. Tu gardais tes conclusions envers elle de côté pour lui plaire. Tu ne pouvais t'empêcher de remarquer des choses et de les noter. Ce qui avait don de l'agacer. Elle te demandait plusieurs fois de t'arrêter. Mais tu ne le voulais pas. Toutes observations étaient valables. Après tout humain et hybride pouvait s'unir. Elle portait plainte pour ton cas. Ce n'est pas ça qui te stopperait. Tu tournais juste la page à cette amourette...

Tu n’abandonnais en rien pour tes recherches. Pour le savoir, pour la science. De ce fait, tu restais souvent dans ton laboratoire, car de nouveaux jeunes te posent des questions, tu es toujours ravi d'y répondre. Tu ne donnes pas toujours des informations intéressantes pour ces jeunes, mais ce que tu dis est censé, dans le fond. Tu y a consacré du temps à ces réflexions.

Evangelyn, tu l'adores, au fond. Tu passais ton temps à dire qu'il fallait. Elle ne t'écoutait jamais. Toujours à rien qu'à sa tête. Elle est devenue Coordinatrice et toi, tu as repris une vielle bâtisse, pas celle de ton maître, tu la laissais à des commerçants faire ce qu'ils en voulaient. Ce laboratoire ancien a plus de choses à te raconter et ça te plais beaucoup. Les livres sont antiques et l'humidité semblaient avoir pris les rênes. C'était un laboratoire, peut-être celui d'un vieux professeur... Il n'était pas facile pour toi, de remettre à jour ce qui était autrefois le Laboratoire d'un savant poète, au vu de tes fouilles pouvaient ressortir comme choses ancienne. Il avait une histoire très liée à ce village. Tu faisais la rencontre des villageois, tous étaient sceptiques, beaucoup avaient tenté égalé cet homme. Mais peu y parvenait, toi, tu serais à la hauteur de ce mythe. Pourtant, il avait vécu ici, il y a très longtemps. Trop longtemps peut-être. La bâtisse était idéale pour toi, en tout cas.

Le forgeron t'intéraissais pas mal. Il était en train de forger une lance. Tu voulais cette arme. pourtant tu n'était pas un violent. C'était sûrement une impulsion purement masculine. u lui demandais si tu pourrais la porter en épée, ce que cet homme a ris avant de dire que ça serai une lance. Tu lui balancer les inconvénients d'une lance, pendant une heure, puis deux. Il acceptait que son travail devienne une épée si tu te taisais, ce que tu faisais. Tu repartais armé. Tu étais fier.

Tu fouille ce vieux bâtiment. Tu vois des images des hybrides avant transformation. Tu te disais que Arceus avait joué un sacré tour au dépit de beaucoup de gens. Tu remettais cet endroit aux normes, ouvrant l'accès à ton parc, ces barrières sont inutiles à présent. Tu es loin de ta ville natale, la belle Parmanie, là où les hybrides amoureux se rencontraient, c'est si beau. Tu ne regrette ce pendant pas de l'avoir quitté, tu crains qu'un jour ta chère sœur remarque ta bêtise. Tu avais taché avec de la sauce tomate, une de ses robes favorites. Tu sais que tu faire jeu égal avec elle, mais tu ne veux pas te battre encore avec celle qui partage ton sang.

Anecdotes amusantes ou non sur Samuel:
♣ S'essaye à la poésie pokémon, mais il est très nul.
♣ Son ennemi mortel est le coin du meuble dont son orteil semble avoir un goût pour la rencontre brutale et douloureuse avec ce dernier.
♣ A une très belle écriture, ce qui paradoxal vu son côté scientifique.
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MessageSujet: Re: Perso pr babkabsa   Perso pr babkabsa EmptyMer 26 Avr - 22:21

Saphire

Physique •
De corps et d'esprit, le tout ne formant qu'un tout unique dans son ensemble. Les yeux de cette demoiselle s'ouvrent. Ils étaient noirs en leurs premiers instants, mais c'est devenu différent à son évolution. Ce changement s'est fait en même temps que le reste. Sa forme humaine, on doit se pencher sur ce corps frêle, elle n'est pas très musclée. Elle ne peut pas porter grand chose. Sa petite taille n'aide pas vraiment à impressionner, elle mesure plus ou moins un mètre soixante. Ce n'est pas une personne ordinaire. Bon d'apparence, on pourrait le penser. En elle se cache un être mignon au possible. On a souvent dit d'elle qu'elle était élégante, mais elle ne le pense pas elle-même. Sa peau est pâle, si bien que lorsqu'elle rougit, il n'est pas rare de le remarquer, on peut dire que son visage est neutre. Mais n'est pas non plus la demoiselle le plus expressive. Elle prend que peu le soleil, toute façon, elle se balade souvent sous la pluie, elle préfère nettement cette dernière. Si bien qu'elle n'ait sûrement pas de parapluie. Les cheveux sont violets. Comme sa forme d'origine, enfin celle qu'elle aurait du avoir, c'était la couleur principale de son corps d'autrefois. Ils tombent sur son dos lorsqu'elle les relâche. Ce qui est assez rare. Elle préfère les garder attacher, au moins, ils gênent moins, car ils ont tendance à la gratter. La masse capillaire est tenue par un nœud violet foncé. Ces vêtements sont relativement souples, bien qu'un peu sombre. Elle a souvent chaud dans ces derniers, mais là n'est pas le sujet. Ils lui permettent de se déplacer, c'est déjà pas mal. Pour ces chaussures, elle a une grande préférence pour celles qui permettent de marcher longtemps.
Il arrive par moment que ses oreilles de chat apparaissent de nulle part. Souvent, sous le coups de l’émotion.



Caractère •
Un peu autoritaire, ce n'est pas qu'elle aime commander, mais elle y est habitué d'une certaine manière. C'est devenu comme une seconde nature pour elle d'aussi loin qu'elle se souvienne, ça toujours été ainsi.
Calme, normalement elle est assez souvent pour pas dire tout le temps. Elle a des sentiments, donc elle a des limites qu'il ne vaut mieux pas dépasser. Car sa colère est du genre très dévastatrice.
A l'écoute, c'est une personne avec une certaine expérience, asse courte, certes, mais elle es là. Elle s'en sert pour aider son prochain. Ce n'est pas toujours juste, ni totalement avisé. Mais elle fait de son mieux. Ses fuites l'on formée
Routinière, c'est une femme qui a ses habitudes et qui a du mal à les voir se les faire bousculer. Elle aime que les choses soient en ordre. C'est une raison pourquoi ses cheveux sont toujours attachés. Sa vie n'est pas toujours un long fleuve tranquille.
Un peu joueuse, elle s'amuse de petites choses ou de grandes. C'est une personne qui peut tout à fait s'amuser d’autrui. Elle se moque gentillement, ce n'est pas vraiment méchant. Elle ne s'en rends pas compte.
Ne s'attache que peu aux gens, c'est une habitude due à son enfance. Elle préfère de loin ne pas trop laisser les gens entrer dans son cœur. Elle n'est pas ignorante en histoire d'amour. Elle s'est juste mise en tête que ces choses n'était pas faite pour elle. Il lui arrive souvent de se sentir bien seul alors elle se mêle aux gens sans arrière pensée, s'amusant de ce moment éphémère qui lui était offert.
Bon sens de l'orientation, depuis qu'elle est indépendante, donc plus solitaire, elle a souvent regarder les étoiles, si bien qu'elle a créer dans sa tête ses propres constellations. Elle se dirige en grand partie grâce à ces dernières. Même si pour cela elle doit attendre une nuit dégagée pour s'aider dans sa future destination.
Curieuse, toujours en quête de nouveaux horizons, elle ne se lasse jamais de voir de jolis paysages devant ses yeux. Elle explore tout pour son propre plaisir.
Protectrice de la nature, C'est une fille qui est prête à se lever aux aurores pour défendre une cause et ce même si ça casse ses habitudes. Pour elle c'est plus précieux qu'on l'imagine. Elle peut se faire moralisatrice pour sa cause.
A une façon de parler assez étrange, que ça soit les mots anciens et sa façon de se tenir par moment. Elle parle comme elle le sent. Mais, elle peut s'adapter aux personnes qu'elle rencontre. C'est une personne sociale en fin de compte.
Un peu narcoleptique... Elle a tendance à s'endormir assez souvent un peu n'importe où. Une vraie plaie.



Histoire •
Elle est né dans une petite ville d'Unys, la demoiselle ne s'en souvient absolument pas, vu qu'elle a vécu le plus gros de sa vie dans la ville construite sur ce volcan endormis. Ses parents sont devenus des personnes s'occupant du foyer, le père était toujours dehors et la mère faisait le nettoyage parfois. Sur un coussin roulé en boule, était endormie une jeune fille, née quelques années plus tôt d'un joli couple d'hybrides. Ils étaient heureux d'avoir une fille, même si son penchant pour la sieste les inquiètent beaucoup, en effet, faire partie de la team Avalon comportait pas mal de dangers. Alors la main du père se déposait lentement sur la jeune fille et la secouait un peu. La jeune demoiselle râlait un peu, déjà si jeune et pleine de volonté. C'était attachant. Les parents insistèrent et elle se réveillait ses yeux s'ouvrant sur le monde qui l'entourait. Les parents prenaient doucement sa main et l'emmenaient dehors en se pressant. La petite faisait de son mieux pour suivre, ce n'était pas très simple, elle était bien plus petite que ses deux adultes. Elle courait, apparemment des membres de l'association ennemie avait attaqué le domicile des deux hybrides. La demoiselle ne comprenait pas pourquoi c'était leur maison à eux qu'on attaquait.

« Pourquoi nous ?
-Ma chérie, nous sommes des espions. Nos informations ont du être utilisées... Et ils se vengent. »

La jeune fille déjà pleine de caractère criait quelques jurons. Sous le regard un peu outré de ses parents. La belle ville de port Yoneuve lui manquerait sûrement beaucoup. Ils s'en allèrent aussi vite qu'ils pouvaient à bord du bateau. Ces parents avaient recruté les mauvaise personnes pour leur organisation, s'en était trop. Ils se sont fait repérés... Ils fuyaient en lançant des choses. Ce qui n'arrêtait pas les attaques, et ce, jusqu'à le soleil se lève timidement. Les parents s'arrêtèrent sur une petite île. Soulagés.
Suite à cette attaque, les parents de la jeune fille devenaient de simples sbires qui devaient déménager souvent. Ayant une fâcheuse de dormir trop souvent, la jeune fille n'avait que peu d'amis et faisait en sorte que personne ne la dérange en donnant des ordres. Grâce à ses gifles redoutable, elle avait une certaine autorité auprès des autres. Elle n'aimait que peu qu'on vienne la déranger et si en plus, c'était pour fuir à nouveau les gens de Chronos. Elle se promettait de n'être pas comme ces parents. Ils faisaient bien mal leur travail et se trompaient que trop souvent à son goût. Elle ne prendrait pas le risque comme ses parents d'être repérée et de devoir fuir. Ses nombreux domiciles lui ont donné des occasions d'observer le ciel. Elle se trouvait une espèce de passion pour les étoiles. La jeune fille s'amusait à les lier entre elles. Saphire grandissait voyageant avec ses parents, si bien qu'elle se découvrît une âme d'aventurière. Elle explorait beaucoup ces villes, elle découvrait pas mal de secret en se dirigeant au hasard. Heureusement que son sens de l'orientation était assez bon. Ce goût pour l'aventure, elle voulait l'exprimer, être une fille de sbire ne lui plaisait pas beaucoup. Elle voulait être plus pour l'association. Être supérieure à ses parents qui avaient fauté...
C'est à douze ans, que la jeune fille trouvait une pierre étrange, un pierre grise qui semblait magique. Elle évoluait, ses cheveux roses devenant violets du à son évolution soudaine. Elle ne comprenait pas trop ce qui se passait, mais elle se sentait plus grande et mure. ce qui était à moitié vrai et donc à moitié faux...
À ses seize ans, la jeune fille, après de nombreuses supplications et d'arguments pour qu'ils ait confiance en elle, obtenait un poste de messagère. Ce n'était qu'un début. Mais se disait que commencer par là était un départ plus honorable que de devoir fuir sans arrêt. Connue pour ses cheveux détachés, la jeune fille les attachait, non sans une certaine élégance. Après tout, elle est une Delcatty. Elle aime être un peu jolie. Pas de quoi chavirer les cœurs, mais assez pour être remarquée... Question discrétion, elle a encore des leçons à prendre...
Ses parents sont deux personnes travaillant du mieux qu'ils peuvent.son père est devenu vendeur dans un petit magasin et son épouse l'aidait, ils ne ferait plus partie de l'organisation... Ils sont dans une petite ville, un petit bourg éloigné de tout ou presque, avec les moyens de transports actuels, même les villages les plus isolés sont lié à la civilisation.
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